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PEA, Pel, assurance-vie - Fiscalité : les députés s'attaquent à l'épargne... rétroactivement - Le Point

80% des Français ne font pas confiance aux assureurs d'après cette vidéo

L’image de l’assurance auprès des Français est sérieusement écornée. D’après une enquête du Lab, les assurés doutent de la sincérité des offres et des prestations des assureurs.

Le constat n’est pas loin d’être catastrophique. 80% des Français déclarent qu’il faut être méfiant quand on a affaire à un assureur. Même le secteur de la grande distribution alimentaire, pourtant abîmé par de nombreux scandales ces derniers mois, s’en sort nettement mieux avec une côte de “méfiance” de 56%.

L’étude menée par le think-tank Le Lab (Laboratoire assurance et banque), Péoléo (agence de communication) et L’Obsoco (observatoire de la consommation), en mai 2013 auprès de 1.000 personnes sur 21 sociétés d’assurance, fait apparaître une note de confiance des Français de 5,3 sur 10 attribuée au monde de l’assurance.

Les clients ne recommandent pas leurs assureurs

Plus inquiétant encore, les clients n’attribuent qu’une note de confiance de 6,1 à leur propre assureur avec un plus bas à 3,8 et un plus haut à 5,9. ”Hélas, il n’y a pas de quoi montrer les muscles, même avec la note la plus haute”, prévient Philippe Moati, co-président de L’Obsoco. Dans ce palmarès, les mutuelles d’assurances s’en sortent le mieux avec trois d’entre elles en tête de classement. Deux bancassureurs sont en bas de l’échelle.

Les compétences et la qualité des services sont moins remises en cause que la loyauté des acteurs. “Les consommateurs attendent aujourd’hui surtout de la sincérité pour une marque, à savoir, penser ce que l’on dit, être réglo sur ce que l’on vend”, relève Philippe Sachetti, président de Péoléo.

Ainsi, les personnes interrogées reprochent d’abord un problème de compétitivité des tarifs (mais ne demandent pas les prix les plus bas). En deuxième lieu, ils ne font pas confiance aux opérateurs dans le traitement des sinistres. Ni dans la transparence de leurs offres. La confiance fait également défaut dans la facilité à entrer en contact avec un interlocuteur (surtout chez les jeunes) et dans le statut de l’entreprise, les mutuelles étant davantage plébiscitées (là encore surtout chez les jeunes).

Nouvel acteur ?

Pour exemple : en cas de sinistres majeurs provoquant une hausse des coûts pour l’assureur, 49% des sondés estiment que l’assureur va en profiter pour augmenter les prix plus pour faire des profits, 33% pensent que l’équilibre sera respecté et 9% estiment que la société va répercuter ces coûts sur ses marges.

Cette crise de défiance entraîne une vulnérabilité latente du secteur, selon les auteurs de l’étude. Car environ trois-quarts des clients seraient prêts à résilier leurs contrats s’ils trouvaient, à garanties égales, des tarifs 10% plus bas. La fidélité des clients ne tenant surtout qu’aux obligations légales et à une inertie des comportements.

De fait, un bouleversement réglementaire comme la Loi Hamon ou l’entrée de nouveaux acteurs crédibles venus de secteurs complètements différents (Google, Amazon, EDF… par exemple) pourraient fragiliser la place (cf vidéo).

Crowd Funding: market overview in 4 graphs

The Internet of Things: cool UX presentation

The Internet of Things (and the myth of the “Smart” Fridge) from Avi Itzkovitch

2013 Internet Trends by KPCB

KPCB Internet Trends 2013 from Kleiner Perkins Caufield & Byers

Disruptive Innovation: explained in mini-video

Investissez responsable avec l’assurance-vie ISR

En cette 4e édition de la Semaine de l’ISR, Café de la Bourse et Café du Patrimoine vous font découvrir l’Investissement Socialement Responsable sous toutes ses facettes. Ce vendredi, nous concluons avec l’ISR appliqué à l’assurance-vie.

Les actifs ISR détenus par les particuliers passent en premier lieu par l’épargne retraite et en second par l’assurance-vie. Ils représentent 28 % des encours ISR français, une part très supérieure à la moyenne européenne (6 %). L’offre étendue de contrats d’assurance-vie intégrant des fonds ISR explique en partie cette tendance.

Vous êtres peut-être porteur de parts d’un fonds ISR sans le savoir. Au sein de l’offre en unités de compte - UC - de votre contrat d’assurance-vie, il est probable que plusieurs fonds ISR - monétaires, obligataires ou actions - se soient glissés.

En effet, l’offre de fonds ISR des sociétés de gestion s’étend progressivement, comme en témoigne le nombre de produits labellisés par Novethic : 92 en 2009, 142 en 2010, 156 en 2011. Et même si le chiffre chute en 2012 à 109 fonds puis en 2013 à 104 fonds, en raison d’une baisse du nombre de candidatures, l’ISR demeure un axe de développement fort à la fois dans la gestion et dans l’assurance.

Certains fonds s’avèrent accessibles via un seul contrat, tel Allianz Citizen Care SRI via le contrat Monfinancier Liberté Vie, AG2R La Mondiale Actions Zone Euro ISR via ISR Vie, d’autres le sont via plusieurs contrats : Pictet Water P EUR (C)  via 36 contrats différents, AXA Euro Valeurs Responsables (C) via cinq contrats, etc.

Une offre responsable et/ou solidaire

Si vous n’avez pas encore souscrit de contrat d’assurance-vie et souhaitez investir “responsable”, vous pouvez choisir parmi les cinq contrats spécifiquement ISR et/ou solidaires du marché.

Avant toute chose, sachez qu’un fonds solidaire possède un fonctionnement différent du fonds ISR. Un fonds commun de placement ISR n’investit que dans des sociétés cotées dûment analysées sous l’angle financier et extra-financier, dans l’attente d’un rendement. Un fonds solidaire finance à hauteur de quelques pourcents (entre 5 et 10 %) des organismes solidaires à but non lucratif. Cette part de l’investissement ne peut donner lieu à rémunération, c’est pourquoi elle reste minoritaire dans les fonds.

Depuis 2008, la loi de modernisation de l’économie impose aux entreprises de proposer au moins un fonds solidaire à leurs salariés dans le cadre du plan d’épargne entreprise (PEE), ce qui a contribué à grossir les encours de cette famille de produits jusqu’à 2,5 milliards d’euros en 2012.

Café du Patrimoine a identifié 5 contrats d’assurance-vie ISR et/ou solidaires* :

Assurance-vie responsable et solidaire de la Maif

Ce contrat multisupports offre l’accès d’une part à un fonds en euros - rendement net de 3,40 % en 2012 - composés d’actifs ISR et, d’autre part à trois unités de compte :

- MAIF Investissement Responsable Europe : fonds actions internationales bénéficiant du label ISR Novethic (1) ;

- Robeco Sustainable Climate Fund : fonds actions internationales d’entreprises dont l’activité contribue à retarder, réduire ou maîtriser les impacts du changement climatique. Il détient le Label Fonds Vert Novethic (2) ;

- Insertion Emplois Dynamique : fonds d’actions européennes de sociétés alliant rentabilité financière et mise en oeuvre d’une politique active en faveur de l’emploi, de l’insertion sociale et du développement durable. Il bénéficie du Label ISR Novethic et du Label Finansol (3).

Contrat solidaire de Predica (Crédit Agricole)

Contrat d’assurance-v

via www.cafedupatrimoine.com

Flightcar: carsharing for travelers

What is BitCoin?

Quand les mobiles se transforment en caisses enregistreuses virtuelles, Actualités

BNP Paribas va tester en France, avec Ingenico, une solution d'acceptation de paiement par carte avec un smartphone.

Si le mobile comme instrument de paiement de proximité n'a pas encore trouvé son usage auprès des particuliers, il pourrait en revanche devenir rapidement la caisse enregistreuse virtuelle d'un grand nombre de commerçants, généralement nomades (marchés, livreurs, etc.) ne disposant pas encore d'un terminal de paiement électronique (TPE). Face à l'engouement croissant des consommateurs pour la carte bancaire, il est en effet devenu stratégique pour ces marchands d'être outillés pour l'accepter, quitte à transformer leur smartphone en TPE. «  D'ici à 2017, il devrait y avoir de 30 à 40 millions de marchands en situation de mobilité dans le monde, à un niveau proche du marché actuel des terminaux de paiement en boutique », anticipe Jean-Marc Thienpont, responsable de la stratégie mobile chez Ingenico.

Le potentiel de ce marché attise l'appétit de nouveaux acteurs internationaux comme Square, PayPal, Izettle, Nets ou Payleven qui proposent tous des solutions de TPE mobiles. Face au risque de se faire voler les commissions et la proximité avec leur client qui vont de pair avec le paiement par carte, les banques contre-attaquent afin d'équiper elles-mêmes leurs marchands de ces TPE mobiles. Le groupe BNP Paribas a ainsi démarré au printemps en Belgique le pilote d'une solution baptisée « Mobo ». Développée avec Ingenico, il compte désormais la tester en France auprès de 250 commerçants, artisans et professions libérales mobiles avant de la généraliser l'an prochain avec l'ambition de gagner plusieurs centaines de milliers de nouveaux marchands en France.

via www.lesechos.fr

Quand les mobiles se transforment en caisses enregistreuses virtuelles, Actualités

BNP Paribas va tester en France, avec Ingenico, une solution d'acceptation de paiement par carte avec un smartphone.

Si le mobile comme instrument de paiement de proximité n'a pas encore trouvé son usage auprès des particuliers, il pourrait en revanche devenir rapidement la caisse enregistreuse virtuelle d'un grand nombre de commerçants, généralement nomades (marchés, livreurs, etc.) ne disposant pas encore d'un terminal de paiement électronique (TPE). Face à l'engouement croissant des consommateurs pour la carte bancaire, il est en effet devenu stratégique pour ces marchands d'être outillés pour l'accepter, quitte à transformer leur smartphone en TPE. «  D'ici à 2017, il devrait y avoir de 30 à 40 millions de marchands en situation de mobilité dans le monde, à un niveau proche du marché actuel des terminaux de paiement en boutique », anticipe Jean-Marc Thienpont, responsable de la stratégie mobile chez Ingenico.

Le potentiel de ce marché attise l'appétit de nouveaux acteurs internationaux comme Square, PayPal, Izettle, Nets ou Payleven qui proposent tous des solutions de TPE mobiles. Face au risque de se faire voler les commissions et la proximité avec leur client qui vont de pair avec le paiement par carte, les banques contre-attaquent afin d'équiper elles-mêmes leurs marchands de ces TPE mobiles. Le groupe BNP Paribas a ainsi démarré au printemps en Belgique le pilote d'une solution baptisée « Mobo ». Développée avec Ingenico, il compte désormais la tester en France auprès de 250 commerçants, artisans et professions libérales mobiles avant de la généraliser l'an prochain avec l'ambition de gagner plusieurs centaines de milliers de nouveaux marchands en France.

via www.lesechos.fr

Quand les mobiles se transforment en caisses enregistreuses virtuelles, Actualités

BNP Paribas va tester en France, avec Ingenico, une solution d'acceptation de paiement par carte avec un smartphone.

Si le mobile comme instrument de paiement de proximité n'a pas encore trouvé son usage auprès des particuliers, il pourrait en revanche devenir rapidement la caisse enregistreuse virtuelle d'un grand nombre de commerçants, généralement nomades (marchés, livreurs, etc.) ne disposant pas encore d'un terminal de paiement électronique (TPE). Face à l'engouement croissant des consommateurs pour la carte bancaire, il est en effet devenu stratégique pour ces marchands d'être outillés pour l'accepter, quitte à transformer leur smartphone en TPE. «  D'ici à 2017, il devrait y avoir de 30 à 40 millions de marchands en situation de mobilité dans le monde, à un niveau proche du marché actuel des terminaux de paiement en boutique », anticipe Jean-Marc Thienpont, responsable de la stratégie mobile chez Ingenico.

Le potentiel de ce marché attise l'appétit de nouveaux acteurs internationaux comme Square, PayPal, Izettle, Nets ou Payleven qui proposent tous des solutions de TPE mobiles. Face au risque de se faire voler les commissions et la proximité avec leur client qui vont de pair avec le paiement par carte, les banques contre-attaquent afin d'équiper elles-mêmes leurs marchands de ces TPE mobiles. Le groupe BNP Paribas a ainsi démarré au printemps en Belgique le pilote d'une solution baptisée « Mobo ». Développée avec Ingenico, il compte désormais la tester en France auprès de 250 commerçants, artisans et professions libérales mobiles avant de la généraliser l'an prochain avec l'ambition de gagner plusieurs centaines de milliers de nouveaux marchands en France.

via www.lesechos.fr

Quand les mobiles se transforment en caisses enregistreuses virtuelles, Actualités

BNP Paribas va tester en France, avec Ingenico, une solution d'acceptation de paiement par carte avec un smartphone.

Si le mobile comme instrument de paiement de proximité n'a pas encore trouvé son usage auprès des particuliers, il pourrait en revanche devenir rapidement la caisse enregistreuse virtuelle d'un grand nombre de commerçants, généralement nomades (marchés, livreurs, etc.) ne disposant pas encore d'un terminal de paiement électronique (TPE). Face à l'engouement croissant des consommateurs pour la carte bancaire, il est en effet devenu stratégique pour ces marchands d'être outillés pour l'accepter, quitte à transformer leur smartphone en TPE. «  D'ici à 2017, il devrait y avoir de 30 à 40 millions de marchands en situation de mobilité dans le monde, à un niveau proche du marché actuel des terminaux de paiement en boutique », anticipe Jean-Marc Thienpont, responsable de la stratégie mobile chez Ingenico.

Le potentiel de ce marché attise l'appétit de nouveaux acteurs internationaux comme Square, PayPal, Izettle, Nets ou Payleven qui proposent tous des solutions de TPE mobiles. Face au risque de se faire voler les commissions et la proximité avec leur client qui vont de pair avec le paiement par carte, les banques contre-attaquent afin d'équiper elles-mêmes leurs marchands de ces TPE mobiles. Le groupe BNP Paribas a ainsi démarré au printemps en Belgique le pilote d'une solution baptisée « Mobo ». Développée avec Ingenico, il compte désormais la tester en France auprès de 250 commerçants, artisans et professions libérales mobiles avant de la généraliser l'an prochain avec l'ambition de gagner plusieurs centaines de milliers de nouveaux marchands en France.

via www.lesechos.fr

Et le navigateur mobile le plus sympa est… - MacPlus

Safari mobile est le navigateur le plus facile à utiliser, et de loin, d’après Fixya, un site de questions/réponses sur les réparations de bidules électroniques (30 millions d’utilisateurs mensuels). Ce dernier a compilé 61.582 soucis entre septembre 2012 et septembre 2013, et pondéré le tout avec les parts de marché des différents navigateurs web du marché. Résultat : Safari sort largement premier ! Fixya loue les fonctions du butineur, notamment l’impression de pages web, la possibilité d’ajouter des sites sur l’écran d’accueil, la fonction Liste de lecture, ou le partage facile. Parmi les plaintes les plus entendues, citons l’absence du support du Flash (25%) et la taille de l’écran (id.) L’intégration vidéo représente 20% des complaintes.

Le deuxième navigateur le plus fiable est celui embarqué dans Android : sa vitesse, son design simple et le support Flash (décidément, mais qui regrette vraiment la mort de Flash ?) sont fort appréciés de la communauté. En revanche, elle goûte fort peu les crashes aléatoires (35%) ou les problèmes de gestion de mots de passe (20%). Opera est troisième sur le podium grâce à son support étendu du HTML5 ; par contre, le reformatage de certaines pages suivant les tailles d’écran n’est pas très apprécié. Chrome et Explorer ferment la marche, mais Chrome refait rapidement son retard sur le butineur d’Android. Quant aux utilisateurs de Windows Phone, et bien… ils n’ont pas vraiment de chance avec leur plateforme.

via www.macplus.net

AXA : Ardian sauve les levées de capitaux de l'atonie au S1 en France, infos et conseils valeur FR0000120628, CS - Les Echos Bourse

Les levées de fonds ont atteint E3,6 mds au S1
Ardian contribue à hauteur d'environ E2 mds

PARIS, 16 octobre (Reuters) - Le montant des capitaux levés sur le marché français du capital-investissement a doublé au premier semestre mais l'essentiel de la collecte d'argent frais a été réalisé par la société de gestion Ardian, née de la scission d'Axa Private Equity.

Sur les six premiers mois de l'année, les levées de fonds ont atteint 3,6 milliards d'euros en France contre 1,8 milliard au premier semestre 2012, selon les chiffres publiés mercredi par l'Association française des investisseurs pour la croissance (Afic).

Lors d'une conférence de presse, Louis Godron, le président de l'Afic, a précisé que ce montant intégrait déjà pour environ deux milliards d'euros de fonds levés par Ardian.

Retraité de cette levée de fonds, le marché français serait resté étale par rapport à l'an dernier.

Ardian a annoncé début octobre avoir levé 2,4 milliards d'euros pour son nouveau fonds, avec 400 millions d'euros supplémentaires d'engagements de coinvestissement.

L'Afic estime que le niveau des levées de fonds du premier semestre reste insuffisant face aux besoins de financement en fonds propres des PME et des très petites entreprises (TPE) françaises, estimés à environ 11 milliards d'euros. (Matthieu Protard, édité par Matthias Blamont)

via bourse.lesechos.fr

Square Cash: send money via email

Les assureurs et l’économie collaborative : vers l’assurance P2P ? | Le Cercle Les Echos

eBay, AirBnB, BuzzCar, mymajorcompany, KissKissbankbank, Bitcoins et bien d’autres encore. Ces entreprises ont un point commun : elles font partie de l’économie collaborative. Deux grandes tendances peuvent être soulignées dans l’économie collaborative : d’un côté la consommation collaborative et de l’autre la création collaborative, le financement participatif et la connaissance « ouverte ». La première concerne les entreprises tirées par les nouvelles façons de consommer : AirBnb offre une plateforme permettant aux internautes, où qu’ils soient, d’ouvrir leur appartement ou maison à d’autres internautes, Buzzcar fait de même avec le parc automobile existant (notons par ailleurs que ce modèle s’oppose à la sur-production et sur-consommation actuelles en réutilisant des actifs déjà créés).

La deuxième tendance est tirée, non pas par de nouveaux modes de consommations, mais par de nouveaux modes de création et de gestion. Par exemple, mymajorcompany est une entreprise de financement participatif permettant de récolter le financement nécessaire à l’aboutissement d’un projet; le créateur présente son projet et définit les contreparties qu’il accordera aux contributeurs. Un point important ressort de cette deuxième tendance : ces modèles d’entreprise permettent une mise en relation plus directe entre les acteurs finaux, l’intermédiation se réduit, nous passons au « Peer-to-Peer » (P2P).

Comment ce mouvement peut-il impacter les assureurs ?

Les assureurs sont concernés à double titre par ce mouvement qui s’accélère. Tout d’abord, la consommation collaborative transforme les risques traditionnels couverts par les assureurs. Prenons l’exemple de l’auto-partage. Hier, nous assurions un bien et l’utilisation de ce bien. Aujourd’hui, nous tendons de plus en plus à une assurance d’usage d’un moyen de transport : une assurance de « fonction ». Il est indispensable que les assureurs s’adaptent et clarifient leur proposition de valeur face à ces changements de consommation. Des litiges apparaissent déjà aux Etats-Unis : quelle assurance est applicable lors d’un accident impliquant une voiture utilisée en auto-partage, l’assurance du propriétaire du véhicule ou l’assurance souscrite par le biais de l’entreprise d’auto-partage ? (le cas de l’entreprise d’auto-partage RelayRides suite à un accident tragique impliquant une voiture louée au travers de RelayRides est toujours en cours de résolution).

Au-delà d’une adaptation à un changement de matière assurable, l’économie collaborative invite les assureurs à se poser une autre question : dans quelle mesure ces modèles d’économie collaborative peuvent remettre en cause les modèles actuels de création et de distribution des produits et services d’assurance ? Une partie de la réponse se trouve dans l’émergence de nouveaux modèles d’assurance : Friendsurance en Allemagne, et bientôt jFloat au Royaume-Uni et Peercover sur le net.

Ces initiatives, très différentes les unes des autres, illustrent l’assurance Peer to Peer (P2P). Tout en gardant une certaine intermédiation avec la présence d’assureurs traditionnels, Friendsurance introduit le P2P en proposant aux internautes de se connecter à d’autres internautes pour former une communauté. Les membres de cette communauté versent une partie de leurs primes versées dans un pot commun qui financera l’indemnisation de petits sinistres (sans l’intervention d’un assureur). Friendsurance inclut également du « money-back insurance » permettant aux assurés de récupérer une partie de leur prime : plus la sinistralité de sa communauté est faible et plus la communauté dont fait partie l’assuré est grande, plus le remboursement de la prime sera élevé.

Ce système présente de multiples vertus : diminution des risques de fraudes, meilleure sélection des risques et diminution des coûts d’acquisition de nouveaux clients grâce à la composante communautaire, diminution des coûts de gestion et diminution des coût

via lecercle.lesechos.fr

3 Silicon Valley Trends That Will Reshape the Financial Services Industry - Forbes

Thousands of miles away from Wall Street, some David-sized companies in Silicon Valley are cultivating new trends that will change people’s relationship with money.

Many areas of today’s financial services are ripe for significant change: too many financial companies are slow and disconnected from their customers despite (or perhaps because of) the fact that the financial services industry is without question among the most lucrative in the world.

The top 6 U.S. banks cumulatively brought in over $60 billion in profits in the 2011-12 fiscal year and their global growth potential is almost limitless. Although Silicon Valley is not the financial center of the world (as much as I sometimes wish it were), innovations that begin here always seem to infiltrate the wider world eventually (just look at the Facebook Like and Twitter Share icons next to this article for evidence of that).

And these emerging trends will be no different – they will have a broad impact on the financial services industry at large. For the moment, these trends represent competitive advantages that allow smaller, entrepreneurial financial technology companies to succeed alongside financial services giants. They are:

1. Increased Transparency
Upstart financial technology companies in Silicon Valley are making a commitment to transparency as they attempt to build long-lasting relationships with customers. Such companies are improving how they communicate with customers and clients across the board; the key is in the way they describe their services and prices. Tricky financial products with confusing pricing options lead to short-term gains for companies, but such gains are not sustainable in a competitive environment where everyone is offering similar products and customer loyalty makes the difference.

People have come to expect clear language when it comes to pricing, terms, and support. Clarity and simplicity can be a key differentiator when it comes to financial services products. For example, in my capacity as CEO of ReadyForZero, I still regularly call our customers directly to ask if they see any ways for us to improve or if they have any specific questions about our products or services.

When I reach one of our customers on the phone, I’m invariably met with what can best be described as “delight and surprise.” That’s in no small part due to the fact that financial services companies rarely interact in a direct and proactive manner with customers. In addition to traditional channels, we also have daily conversations with users on Twitter, on Facebook, and on our blog. The feedback we’ve received during these conversations has led us to take different directions or refine our focus on more than one occasion, and that has paved the way for our newest customers to have a smoother experience using our product.

Of course, this is easier for smaller organizations to do well and can be difficult to scale (this isn’t always the case, legendary CEO A.G. Lafley was able to successfully apply this type of thinking in a real way at Procter & Gamble). But this ethos of transparency will have wide-ranging effects for the better within the financial services industry specifically. The key

via www.forbes.com

A Technology Guide to User Empowerment - Deloitte CIO - WSJ

Technology lies at the heart of user empowerment. Here’s an overview of what an IT shop needs to put empowerment to work.

The principles underlying user empowerment—user engagement and free markets—can seem abstract and philosophical. But the challenges for the IT shop in integrating “almost enterprise” solutions with core systems are concrete and technical. Fortunately, the required tools and practices already exist. CIOs should focus on acquiring these capabilities and applying them effectively.

Composite application frameworks. These frameworks are designed for orchestrating long-running, end-to-end business processes over a series of steps and discrete systems. They can be used for simplistic as well as complex business processes, and for integrating processes from multiple back-end systems. Tools allow a given transaction to be assembled from public and private cloud services, on-premise enterprise systems and data, or manual tasks—by employees, business partners, and even customers. Often coupled with business rules engines and messaging layers, these advanced platforms are designed for dynamic routing and composition of services. Steps and services are dictated by data in the workload, or by external factors such as supply chain status, traffic updates, and customer service interactions.

Agile development. To achieve faster development times, IT departments apply “agile” approaches to managing software projects and developing products and applications. Adding agile approaches such as “scrum” to a software development lifecycle can entail making significant changes. Release management, configuration management, portfolio tracking, project management, and testing standards are likely based on traditional “waterfall” mentalities—and hard-wired into systems and infrastructure.

Next-generation development languages. A number of no- or low-code development approaches—including Ruby on Rails, Python, Force.com, and Google’s Enterprise App Engine—are gaining traction. Enterprise standards like J2EE, .NET, and COBOL will not be completely replaced, but will likely be coupled with languages, such as HTML5 and Adobe Air to promote experimentation at “the edge” and rapid cycles from concept and prototype to finished product.

Wireframing and prototyping. Executing any vision for user empowerment requires rapidly iterating design concepts and creating representative prototypes. Standardization will help design teams achieve proficiency. On the other hand, attempting to select tools tailored to specific situations may only cause them to get “lost in the weeds.”

Integration. Back-end system integration usually presents a bottleneck to the rapid build-out of solutions. If user adoption takes off, solutions need to quickly transition from representative prototypes and stand-alone applications to fully integrated systems that interface with legacy systems and data. IT should build a service bus and integration framework capable of handling tiers of service levels—a spectrum of reliability, performance, transactional integrity, and security capabilities. User empowerment will likely entail introducing new integration patterns to support the required flexibility, based on SOA (service-oriented architecture) principles. In addition, IT may need to integrate cloud offerings with the core, as well as integrating the core with external services, such as social platforms.

Vendor, contract, and asset management. Standardized processes supported by specialized tools should be deployed to track and manage vendors, contracts, and associated assets. Asset tracking needs to move beyond physical devices and software licenses to become a services repository. This would allow tracking of cloud services, application and integration objects, mobile applications, on-premise solutions, and other IT

via deloitte.wsj.com