inShare20
via www.atelier.net
Hong Kong’s close proximity to manufacturing hubs like Shenzhen, China, and its small but growing startup ecosystem will make it a fertile growing ground for wearable tech startups. At least that’s what Nest, an early-stage venture capital firm, and AIA, one of Asia’s largest insurance providers, are hedging their bets on. The two have teamed up to launch AIA Accelerator, which will focus on health and wearable tech startups.
Nest already holds several programs meant to help fledgling Hong Kong startups grow. These include an incubator program and an equity crowdfunding platform. AIA is Hong Kong’s largest insurance provider by market cap and has offices in sixteen Asia-Pacific markets.
The accelerator program started accepting applications today and will select eight companies, which will receive mentoring and potential long-term equity investments. The startups will present their products during a demo day next June.
In a statement, Steve Monaghan, head of AIA Innovations, said “AIA meets the ever-changing and increasing financial and protection needs of the people across the region by offering a wide range of products and services. We will continue to innovate across multiple disciplines to drive sustainable growth and to provide our customers with the right solutions. The AIA Accelerator program is one of our endeavors to promote innovation.”
Despite access to manufacturing centers in China, programs like Nest’s incubator, and government-sponsored resources, and government initiatives like the Cyberport information and technology office hub, Hong Kong’s startups still face significant challenges. These include few funding opportunities because investors prefer sticking to financial and banking sectors, and lack of mentorship.
While it remains to be seen which of AIA Accelerator’s portfolio companies will successfully receive follow-up funding, Nest founder Simon Squibb believes that the program can at least address the mentoring gap by connecting participants with executives from AIA, as well as entrepreneurs like Richard Kelly, formerly managing director of IDEO Asia Pacific, and David Zhu, co-founder of Divide, an enterprise mobile computing platform that was acquired by Google earlier this year.
“Entrepreneurs often try to develop solutions to problems that are most relevant to their daily lives,” said Squibb. “Since healthcare and lifestyle are big on the priority list for people in Asia, we believe start-ups in this region are particularly well-placed to disrupt the future of industries like healthcare and insurance.”
via techcrunch.com
Les récents débats autour des locations saisonnières l'ont montré : les Français sont de plus en plus enclins à pratiquer l'économie du partage, et notre système, notamment juridique, n'est pas encore tout à fait adapté à cette révolution des pratiques.
Ne nous y trompons pas. L'économie du partage ne se résume pas à une forme technologique du bon vieux troc, à une résurgence informatique de l'entraide, ou à une posture alternative aux accents plus ou moins rebelles. Non, l'économie du partage n'est pas une révolte, c'est une révolution. Une révolution dont le champ d'application, son étendue et ses enjeux dépassent les anciens modèles connus.La grande nouveauté consiste ici dans le passage d'une société de la consommation à une économie de l'usage. C'est l'univers du numérique qui rend possible cette transition. Loin d'être « virtuel », l'espace dématérialisé est bel et bien réel. Simplement, il permet, d'une manière inimaginable il y a encore vingt ou trente ans, de se soustraire à des nécessités en apparence aussi pesantes que, par exemple, l'espace : désormais, la proximité territoriale n'est plus un prérequis pour conclure un accord. Ou encore, le temps : la rapidité des recherches permet de faire converger des volontés qui n'auraient parfois même jamais pu se rencontrer sans ce formidable outil. Les offres et la demande, et donc la création de valeur, s'en trouvent démultipliées de manière exponentielle.
Elle aura aussi des retombées immédiates y compris pour nos territoires. En effet, la financiarisation d'une multitude de petits flux d'échanges informels pourrait représenter à terme un vecteur de croissance réel pour notre pays. Le succès de start-ups, françaises comme Blablacar, ALittleMarket ou américaines comme AirBnB, démontre bien la demande croissante de ceux qu'il est plus que jamais pertinent de nommer des usagers, pour leur convenance personnelle ou dans l'exercice de leur profession. Cette manière de consommer qui privilégie l'usage à la propriété tend aussi, de surcroît, vers l'idée d'une consommation durable.
C'est parce qu'il serait absurde de laisser en friche de telles opportunités que nous souhaitions formuler ici quelques pistes de réflexion, afin de permettre à notre pays d'être à la pointe de cette révolution économique et sociale.
- Il est indispensable que le pouvoir législatif et règlementaire ainsi que les acteurs du numérique, de l'économie du partage et des secteurs économiques traditionnels, réfléchissent ensemble à la mise en place d'une réglementation intelligente. Il faut concilier la spontanéité de cette forme d'échange et protéger les intérêts des individus.
- Il est fondamental d'accompagner ce mouvement dans une période où il n'a jamais été aussi difficile de trouver un emploi et jamais aussi facile de créer son entreprise. C'est ici la clef de voûte de l'apport économique et social de cette révolution des comportements de consommation.
- À une période où la réforme territoriale se perd dans les méandres de débats institutionnels sans fin, incitons les territoires à s'emparer des opportunités créées par l'économie du partage. Les collectivités locales peuvent répondre aux demandes de leurs concitoyens en accompagnant des initiatives collaboratives, mais aussi en permettant l'émergence et le développement de start-ups françaises dont la création aura émané d'une initiative locale.
- L'instauration d'un cadre de confiance est également une nécessité absolue pour démocratiser l'usage de ces systèmes économiques. Une réelle réflexion doit être menée pour définir qui sont les potentiels tiers de confiance et quels sont les acteurs qui pourront délivrer les certificats et labels.
En somme, tous les acteurs doivent se réunir et définir ensemble les meilleures manières d'être à la hauteur des enjeux et des bénéfices que cette innovation doit apporter à tous.
C'est cela aussi, l'économie du par
Le marché de la « sharing economy » pourrait atteindre les 335 milliards de dollars (268,5 milliards d’euros) d’ici à 2025, contre seulement 15 milliards de dollars aujourd’hui (12 milliards d’euros), selon une étude de PwC.
Pour parvenir à ces chiffres, le cabinet a pris en compte cinq secteurs clés : la finance P2P, le recrutement, le logement, l’autopartage et la musique et la vidéo en streaming. « Les 15 milliards de dollars de chiffre d’affaires mondial générés aujourd’hui par ces cinq secteurs de l’économie du partage pourraient s’élever à plus de 300 milliards de dollars en 2025. Mais la réalisation de ce potentiel nécessitera défis réglementaires et concurrentiels importants à surmonter » explique Robert Vaughan, économiste chez PwC.
« Plusieurs entreprises de haut niveau ont été pionnières dans l’approche de la sharing economy, perturbant certaines organisations établies, comme Uber qui a déclenché des protestations des chauffeurs de taxi à Londres. Dans le même temps, certains se sont saisis du secteur comme Avis qui a racheté Zipcar, une société d’autopartage » poursuit M. Vaughan.
via frenchweb.fr
As France seeks to change the world’s perception of its high-tech economy, the country can claim another milestone of sorts.
When the latest version of the International Consumer Electronics Show rolls around this January, the startup section will have a strong French flavor.
In an interview posted on the L’Atelier BNP Paribas corporate blog, Axelle Lemaire, France’s minister for the digital economy, boasted that the country would make a strong showing at CES 2015.
“This year, for the first time, a third of these startups will be French,” she said.
The French Tech blog Rude Baguette dug into that statistic a bit and found that in the show’s startup area, CES Eureka Park, 33 percent of the exhibitors will be from France. Put another way, Rude Baguette says, Eureka Park wil
via venturebeat.com
I started writing these posts with the hypothesis that in their effort to innovate, corporations must re-invent the traditional R&D model with one that augments the R&D efforts with venture investments, acquisitions, strategic partnerships and startup incubation. Corporate VCs (CVCs) are expected to play a big role in this innovation quest. With that in mind corporations are establishing such groups in record numbers, including corporations from industries that have not traditionally worked with venture capital. Corporations have been providing their venture organizations with significant size funds to manage, and expect them to invest in companies of various stages and geographies. Today’s CVC prominence can result in many advantages for entrepreneurs and co-investment partners but also carries risks, many of which are due to the way CVCs are set up and operate within the broader corporate structure. In the last blog I examined how the disruption of institutional VCs (IVCs). In this blog I will take an in-depth look of corporate VCs. I will examine the different types of corporate VCs, compare the characteristics of today’s corporate venture groups to the characteristics such groups had in the late ‘90s, and describe the areas where CVCs must focus on in order to succeed. In the next blog I will provide some ideas on how to best set up a CVC organization based on my work with such organizations to date.
A short historical perspective
This is not the first time CVCs have entered the startup ecosystem. According to BCG, the first time was in the mid-60s. The main driver at that time was financial returns rather than innovation even though that period was also characterized by technological advancement and strong corporate performance. The next entry of CVCs into the very small startup ecosystem occurred in the early ‘80s and was again financially motivated. The first institutional VC firms (IVCs), as we know them today, were also being formed at that time. That foray came to an abrupt end with the stock market crash of 1987. Ten years later, during the dot-com era, the technological innovation that was being created and the stock market performance brought CVCs back to the startup ecosystem. For the first time investing in innovation became a motivating factor in addition to the drive for financial returns. The 2001 recession ended the third wave. The most recent wave of corporate VCs begun around 2006 but CVC group formation has picked up steam around 2009-2010. As I mentioned in my previous post, according to Global Corporate Venturing, today 1100 corporations have active venture funds. The average CVC program is only four years old with most investing members being part of the program for less than 3 years. Based on my conversations with several corporate executives the CVC group formation is now driven by the existential threat most corporations across industries are feeling due to technology- and business model-driven disruptions.
The money CVCs invest always comes from one source whereas institutional VCs have many LPs in each fund. However, even then the structures of a corporate investment vehicle vary widely. They range from a
Connaissez-vous Guillaume Cuby from Paris ? Monactionprevention : pour s'y retrouver dans vos contrats d'assurances...
Bien malin qui s'y retrouve dans les contrats d'assurances qu'il a souscrits..
Guillaume présente "monactionprévention" : le premier service pour y voir clair dans tous vos contrats d'assurance... Car pour la plupart d'entre nous, on ne sait pas ce dont on dispose dans ce domaine.. De plus on ne sait pas trop comment sont couverts nos proches...
Et encore bien plus malin qui arrive à se dépatouiller dans la jungle des garanties proposées dans ces contrats... !
Pourquoi a-t-il eu cette idée ? Il nous décrit les différentes fonctionnalités qui nous sont proposés par la plateforme monactionprévention.
Pour voir l'e-billautshow de Guillaume : http://billautshow.tv/Guillaume-Cuby-Monactionprevention
En moyenne, combien de contrats d'assurances ont été souscrits par un foyer français ? Pour combien de garanties ?
Comment simplifiez la gestion de ces contrats ? Comment aussi lister toutes les garanties proposées par ces contrats ? Repérer celles qui sont en doublon, ou au contraire celles qui s'additionnent et se complètent..
Comment la plateforme identifie les contrats que vous avez souscrits ? Surtout si vous ne savez plus très bien où vous avez rangé les dits contrats ? Pour cela Guillaume et son équipe ont eu une idée astucieuse : la plateforme recense pas moins de 850 contrats différents pour environ 2.000 garanties..
Comment un assuré utilisateur de monactionprevention peut-il lister ses propres contrats ? Comment optimiser ses garanties en fonction d'un risque donné ? Ou alors l'absence de couverture à tel risque ? (il a à sa disposition un tutoriel).
Comment le site monactionprevention peut nous aider quand un sinistre s'est produit ? Qui sont les personnes concernées par le sinistre ? Quelles sont les garanties à faire jouer ? Comment est généré le rapport de garanties ? Qu'y a-t-il dans ce rapport en fonction des contrats que vous avez souscrits ?
Guillaume nous fait une démonstration live..
Adjustable insurance policies should offer value to consumers beyond simply addressing the desire to sign up for a new policy when premiums drop.
An adjustable policy is unlikely to save clients money if its premiums today are much higher than other policies on the market, says Byren Innes, PwC’s senior strategic advisor, Financial Services Consulting and Deals.
Premiums would have to go down dramatically in future to compensate. In that case, waiting until rates rise and premiums drop to buy a new policy would be a better bet. But if an adjustable policy is fairly priced, he says, it should beat buying a new policy later on.
Further, a client who buys adjustable insurance today will always have premiums based on her age at time of purchase. Someone who signs up for a new policy when premiums drop in future will be older when her payments are calculated, he notes. While the difference in premiums would be slight, adjustable would have the advantage.
The price of cancelling existing policies may deter some customers, but as time passes, the force of these penalties fades and in some cases disappears, says Innes.
The benefits of many whole life policies, such as cash values, aren’t activated until between the second and fifth years of a plan. Universal life plans have surrender charges for early cancellations. But the more years the policy is in force, the fewer people these deterrents will affect, he notes.
Burned by the plans in the past, some advisors will be more reluctant to embrace adjustable policies than consumers, adds John McKay, executive VP and actuary at PPI Advisory.
Many advisors who saw those premiums go up years ago are still practicing, he says, but a new generation of consumers is in the market. It’s a matter of re-educating advisors, he says. “We’re now in a very different environment […] Really, interest rates only have one way to go, and that’s up.”
Advisors may also feel they’re doing themselves a disservice by promoting adjustable insurance, as the policies preclude the possibility of re-signing clients when the interest rate changes. But advisors shouldn’t think that way.
A higher interest rate will bring other opportunities for sales as inflation erodes policies’ face values, says Jason Pereira, advisor at Bennett March. “They’re probably going to need more insurance anyways, and another policy,” he explains.
Advisors shouldn’t feel entitled to signing commissions, adds Innes. “To say that the advisor is losing out, I have a hard time buying that. He’s missing out on a windfall, but the windfall wasn’t his in the first place,” he says.
And, he adds, it’s early times. “There will be better and better versions of these coming out, more innovation, and more accountability to the consumer.”
via www.advisor.ca
Insurance companies too slow taking new products to market
Tuesday, 25 November 2014, 11:27 am
Press Release: Target Group20 November 2014
Over three quarters of insurance companies are too slow at taking new products to market, warns Target Group
• 76% of insurance marketing professionals say insurers are too slow at taking new products to market
• More than three quarters (78%) of insurance marketing professionals said products should be more dynamic
• Target Group develops ‘Four D’s of Insurance’ whitepaper on change and innovation in insurance to assist providers
Research released today by Target Group reveals that three quarters (76%) of insurance marketing professionals believe that they are too slow taking new products or services to market and struggle to keep pace with ever-changing consumer demands. These findings from the financial services outsourcing and software provider, Target Group come as part of the launch of its ‘Four D’s of Insurance’ whitepaper. They also reveal that more than three quarters (78%) of respondents believe that their insurance products should be more dynamic at adapting to changing consumer behaviour.
Perhaps unsurprisingly the results of the survey of top insurance professionals from the UK, Australia and New Zealand also suggest that larger organisations are less likely to be able to get new offerings to market consistently and quickly. This is highlighted by the fact that just 13% of large organisations surveyed feel they do this well enough compared to 23% of SMEs. A combination of the volume of launches, legacy product lines, legacy systems, complex structures and multiple sites are all major factors cited.
via www.scoop.co.nz
Toledo, Ohio’s summer battle with toxic algae is just the latest in a string of weather-related catastrophes to beset our nation’s water and sewer systems. Hurricane Sandy’s unprecedented storm surge caused more than $500 million in damage to coastal water systems. Last year’s Arizona wildfires that killed 19 firefighters also devastated forested watersheds in a region already defined by water stress. And, of course, Hurricane Katrina swamped New Orleans’ water system, causing one of the few weather-related credit downgrades in the sector’s history.
Across the country, extreme weather is exposing the vulnerability of 20th century water infrastructure. This liability was brought into stark relief by a lawsuit brought by Farmers Insurance Co. against municipal sewage systems in the Chicago region for failing to invest in upgrades that could have prevented a monster rainstorm from spewing raw sewage into basements and streets in April of last year. The lawsuit, which was later dropped, put water systems on notice that these extremes are the new normal their systems must be redesigned to manage.
Insurance companies are not alone in recognizing the costs of water infrastructure failure under extreme conditions. Recently, both Standard & Poor’s and Moody’s Investors Service—two of the largest credit rating agencies in the market—published their concerns about our infrastructure’s exposure to extreme events and climate change. Moody’s has gone so far as to propose comprehensive changes to its bond rating methodologies to account for “exposure to weather volatility” and other extremes, including over-dependence on water sales, which may be vulnerable to drought.
How these rating agencies factor in weather risks will have a major impact on the bottom-line of water systems that depend on the markets to finance their infrastructure. The riskier a water system looks, the higher the interest rate it will likely pay when it offers its bonds on the market.
Recognizing that both the markets and water service providers are planning against an ever more uncertain future, the U.S. Environmental Protection Agency recently released a synopsis of discussions it convened between the decision makers in the markets and water systems who have been leaders in defining what climate adaptation looks like for the water industry.
Whether climate extremes are causing sewage geysers or algal blooms, the end result will be more spending driving our water rates even higher.
But what if instead, we use climate extremes as a reason to fundamentally reevaluate the services our water utilities provide and how they provide it? What if we look at this as a design challenge to create more value for water utilities and their customers instead of less?
That’s what some U.S. utilities are already doing, and it’s driving a burst of innovation that should inspire us to believe
While there has been progress toward the pace of tech adoption, the speed from 2013 seems to have hit the brakes in 2014, with investments returning to what the industry saw in 2012, according to a report from Strategy Meets Action (SMA). And as technology advances, different insurance products and services will be necessary.
"In today's environment of fast-paced change, an insurer's commitment to innovation must never cease, must never pause, and must always keep a sense of urgency," says Denise Garth, SMA Partner and report author, along with Deb Smallwood, SMA Founder. "Each and every day, insurers must recommit to their innovation journeys ... to avoid falling into operational traps."
The pressure from outside influencers and competitors has forced insurers to reprioritize their innovation goals, with enabling growth (42%) and profitability (30%) as the top drivers. To meet those goals, 38% of insurers are focusing on IT upgrades, as detailed in "Innovation in Insurance: Expanding Focus and Growing Momentum," a report based on the survey responses of 79 insurers from North America. Focusing on IT is a reflection of the work involved to modernize core systems, the movement to the cloud and experimenting with next-gen technologies.
Quelle est la mission d’un Data Scientist ?
Un Data Scientist a pour missions à la fois l’identification, la définition des données importantes à collecter, l’analyse de ces données et la traduction de ces analyses en actions réalisables par les équipes. Il participe activement à la spirale d’innovation inhérente à toute entreprise, qui grâce aux datas, dispose d’informations cruciales pour développer de nouvelles offres et produits, mieux comprendre son public.
Il peut intervenir à la fois sur des projets macro comme la rédaction d’un cahier des charges pour le développement d’un DMP (Data Management Platform) ou sur des sujets micro tel que l’optimisation d’une campagne clef.
Un Data Scientist est là avant tout pour comprendre et répondre aux besoins en Analytics d’un projet, les analyser pour optimiser sa mise en place.
If you're a regular gym-goer who can resist the temptation to ditch the free weights every time you're feeling lazy, Pact Health has a proposition for you: If you keep your gym commitments, you'll get money off your health insurance deductible. Miss a planned gym trip, and your deductible gets bigger.
Insurance plans with high deductibles—that is, plans that require patients to pony up large sums of money before insurance starts paying for care—are becoming increasingly popular. And, according to an AP poll, they are preventing people from getting the care they need. Among poll respondents, 19% of privately insured adults say that they have neglected to go to the doctor when they were sick. That number jumped to 29% for people with high-deductible plans.
"We saw a very interesting opportunity," says Yifan Zhang, the CEO of Pact. "There's no reason your deductible has to be a dumb deductible—an incentive that doesn’t change. If we can change people's behavior, we’re generating value for insurance companies."
Pact (formerly known as Gym Pact), already has an app that allows users to make commitments and make or lose money depending on whether they follow through. There are currently three kinds of pacts available: Gym Pact, which counts any run, bike ride that takes more than 30 minutes, visit to the gym, or 10,000 steps of walking as a workout; Veggie Pact, where members take photos of their fruit and vegetable consumption and get them verified by the community; and Food Log Pact, which lets members make money from consistent food logging on MyFitnessPal.
Say you want to start exercising three times a week. For every day you work out, you'll get a cash reward. Fail to meet your three times a week threshold, though, and you lose cash, which then goes into the pool that pays members who fulfill their commitments. Pact tracks exercise using GPS (to see whether you're actually at your local gym and that you're staying there for at least 30 minutes), step trackers like Fitbit, partner apps like RunKeeper, and an internal step tracker.
Pact Health operates in a similar manner. Employers sign up for the plan (Pact Health is a supplemental health plan that's purchased in addition to a regular plan), and their employees have the option to set exercise goals. For every workout completed, they get $5 off their deductible. Every missed workout adds $5 to the deductible. Participants can earn up to $1,300 in deduc
ROI is a hot topic.
Discussions surrounding the return on investment of social media have been prevalent lately, and with good reason. In a tightening economy, businesses are scrutinizing their spending and anxious to ensure that their resources are being allocated wisely.
The discussion of ROI has focused mostly on the search for the holy grail of a metric, but adapting traditional metrics to fit social media would be akin to sticking a square peg in a round hole.
But what does "return on investment" really stand for in a business? Roughly translated, it means the value we expect to get out of all the effort we put into something. It's the definition of the output (return) from an input (investment).
But here's the trick: ignoring the input, or doing nothing in social media, will surely guarantee no return at all.
So, then, what is the "Return on Ignoring" social media? Here are some perspectives from the front lines.
The following interviews were recorded at the MarketingProfs Digital Mixer in Scottsdale, AZ in fall 2008. This is the first article in a series that will explore the importance of social media in the marketing mix.
Ignoring the Need to Change?
Gary Vaynerchuk: http://www.youtube.com/watch?v=W7BQ3kf2i8Y
I love Gary Vaynerchuk's take on this. He's actually hoping the "dumb" companies don't clue into the need to stop doing the same thing they've been doing all along. He's hoping that the recession will actually scare such companies away from change, away from venturing into social media. Why? The survival of the fittest—the "smart" companies will win. Consider Gary's WineLibrary.TV and its phenomenal growth as evidence that the social-media approach works.
Sean McDonald:
L'inquiétude des Français pour leur retraite n'est pas nouvelle, mais elle a tendance à s'accentuer, selon l'étude annuelle réalisée pour le gestionnaire d'actifs américain BlackRock. Deux tiers des personnes interrogées dans le cadre de cette enquête pensent que leur revenu une fois à la retraite ne leur permettra pas de vivre correctement.
Non seulement leur pension ne sera pas suffisante, estiment-ils, mais seulement 45 % des sondés arrivent à mettre de côté en prévision de leurs vieux jours. « Ce résultat est bien inférieur à celui des autres pays européens, 56 % en moyenne. Les sondés mettent en avant leur incapacité à épargner en raison du coût élevé de la vie », explique Pierre Seydel, chez BlackRock.
Autre signe de la crise économique, 60 % des personnes interrogées déclarent qu'il est aujourd'hui plus difficile d'épargner en vue de leur retraite qu'il y a cinq ans.
Lire aussi : Epargne retraite : le paradoxe français
Dans cette vaste enquête – 27 500 personnes ont été interrogées dans le monde –, les Français se distinguent par leur pessimisme. Ils sont 62 % à s'inquiéter de leur avenir financier – contre 49 % en Europe – et seulement 3 % pensent que l'environnement économique va s'améliorer.
via www.lemonde.fr
Snapcash : le transfert d'argent facile, par Snapchat et Square
Rép' à ça SEPA 26ApplicationsSimplifier les procédures de paiement tout en continuant d'assurer un certain niveau de sécurité, notamment en mobilité, est l'un des défis de ces prochaines années. Et vu le potentiel financier du secteur, nombreux sont ceux qui se sont déjà lancés dans la course. C'est même le cas de Snapchat qui dévoile aujourd'hui Snapcash.
S'il y a bien un acteur que l'on ne s'attendait pas à voir se lancer dans le paiement mobile il y a encore un an, c'est bien Snapchat. En effet, la société était alors surtout vue comme une solution permettant aux ados de s'envoyer facilement des sextos, et autres messages éphémères. Mais quelques refus de rachat et problèmes de sécurité plus tard, l'équipe continue de renforcer son outil avec de nouvelles fonctionnalités.
Snapchat refuse les rachats et se cherche un modèle économique
Et le sujet du moment semble être la monétisation. En effet, gratuit, Snapchat a récemment décidé de se mettre doucement à la publicité afin d'assurer son avenir. Comme expliqué lors de l'annonce le mois dernier, le but est d'afficher des annonces au sein de la section des mises à jour récentes, uniquement aux États-Unis pour le moment. La société indiquait alors ne pas faire dans le tracking ou les systèmes complexes, et veut surtout voir à quel point un tel système peut être viable dans un premier temps.
Aujourd'hui, c'est une autre source de revenus potentiels qui est évoquée : Snapcash. Ici, le but est de suivre la tendance actuelle qui vise à proposer des systèmes de paiement simples, pratiques et exploitables depuis un mobile.
Lancée en 2012, la startup Finexkap vient d’annoncer avoir bouclé une levée de fonds de 22,5 millions de dollars auprès de GLI Finance, FinSight et des investisseurs privés. Le montage de ce tour de table est réparti de la manière suivante : 7,5 millions de dollars en equity, et 15 millions sur les véhicules de refinancement gérés par la filiale Finexkap AM, fraîchement agréée par l’AMF en qualité de société de gestion.
Finexkap propose un service simple d’affacturage, qui permet aux fournisseurs de prestation ayant besoin ponctuel de trésorerie, de retrouver un équilibre comptable sain. L’outil propose en 6 clics de prendre en charge, les factures en attente de paiement, qui ne sont pas ou tardent à être réglées par les clients de l’entreprise. Une solution qui fonctionne à la demande, sans engagement et sans besoin d’être caution personnelle pour le dirigeant d’entreprise.
Parti du constat que les entreprises françaises ont provoqué plus 800 milliards de créances en 2013, Finexkap a ajusté son offre à l’attention des TPE-PME. Jusqu’à maintenant disponible en version beta privée – l’outil devrait être lancé au public prochainement – Finexkap revendique déjà plus de 700 clients, représentant plus de 100 millions d’euros de créance traitées. Ce tour de table est aussi l’occasion pour les 2 fondateurs (Cédric Teissier et Arthur de Catheu) d’accueillir un investisseur de premier plan, en la personne de John Donovan, ex-COO de Lending Club (première plate-forme de prêts entre particuliers fondée en 2006) et actuel Partner de FinSight.
Suite à cette levée de fonds, les équipes actuellement composées de 14 personnes, devraient être renforcées prochainement par l’arrivée de 6 autres ressources (voir les offres en cours). L’équipe dirigeante serait actuellement en discussion avec d’autres acteurs institutionnels et investisseurs privés pour préparer une nouvelle opération financière. Selon une étude récemment publiée par Accenture, les investissements dans le secteur FinTech en 2018 se situeront entre 6 et 8 milliards de dollars.
Le Crédit Agricole lance une solution d'identité numérique
Après avoir été évoquée à plusieurs reprises par ses concepteurs, notamment lors des célébrations du deuxième anniversaire du « CA Store », la nouvelle solution d'identité numérique du Crédit Agricole, baptisée « CA Connect », fait désormais l'objet d'une vidéo de présentation, qui semble indiquer un lancement officiel imminent.
Dans le monde numérique d'aujourd'hui, chacun d'entre nous utilise quotidiennement une infinité de services en ligne qui nous demandent de nous identifier et nous imposent donc de mémoriser un mot de passe pour y accéder. De plus en plus souvent, les sites web adoptent les outils de « fédération d'identité » proposés par les géants du web (Google, Facebook…) afin de simplifier ce casse-tête. Une seule connexion suffit alors pour être reconnu automatiquement sur toutes les plates-formes qui ont fait un tel choix.
Avec son initiative, le Crédit Agricole veut proposer une alternative au quasi-monopole qu'exercent les grandes entreprises américaines du web dans ce domaine (il faut également signaler l'offre de La Poste, qui se positionne cependant sur un créneau légèrement différent, avec la validation formelle de l'identité des individus). Si la banque verte atteint son objectif, nous verrons donc bientôt fleurir sur le web français des boutons « CA Connect » permettant une ouverture de session, totalement sécurisée, en un clic.
A ce stade, les entités internes du Crédit Agricole constituent les premières cibles. En effet, les multiples activités du groupe – et leurs services en ligne associés – fournissent à elles seules un cas d'utilisation pertinent : par exemple, le client qui dispose d'un compte personnel et d'un compte professionnel auprès d'une caisse régionale, d'un compte Tooket (la monnaie virtuelle solidaire originaire de Pyrénées-Gascogne), d'un livret BforBank et d'un contrat d'assurance Pacifica doit gérer 5 identifiants différents ! Un moyen d'accès unique lui facilitera certainement la vie…
Les origines de « CA Connect » expliquent d'ailleurs très simplement cette approche initiale, puisqu'elles peuvent être recherchées dans le système d'identification utilisé pour les applications du « CA Store », qui intègrent justement les services de la banque. Dans la même logique, les logiciels d'agrégation de comptes (du style de
http://about.me/minh_q_tran
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