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AXA lance un fonds global de capital-risque : « AXA Strategic Ventures »

 

 

 

Le Groupe AXA lance « AXA Strategic Ventures », un fonds de capital-risque doté de 200 millions d’euros. Le fonds d’amorçage « AXA Seed Factory » devient « AXA Factory », un accélérateur dédié aux startups innovantes de l’Assurtech et la Fintech.

Le Groupe AXA lance « AXA Strategic Ventures », un fonds de capital-risque global de 200 millions d’euros. Destiné à favoriser l’innovation dans les métiers de l’assurance, de l’épargne, de la banque et de la gestion d’actifs, le fonds a pour but d’améliorer l’expérience client. Dans ce contexte, « AXA Seed Factory », fonds d’amorçage créé à l’initiative d’AXA France et doté de 10 millions d’euros, cède à AXA Strategic Ventures son portefeuille comprenant 5 startups (Fundshop, Particeep, Widmee, FlyR International et ClimateSecure) et devient « AXA Factory », un accélérateur dédié à l’accompagnement, en France, des startups innovantes à fort potentiel dans les domaines de l’AssurTech et de la FinTech.

 

Pour Nicolas Moreau, Président Directeur Général d'AXA France et Président du Comité Stratégique d'AXA Strategic Ventures : « Investir dans des startups au travers de l’AXA Seed Factory a été une expérience très bénéfique pour AXA : cela nous a permis d’encourager l’innovation au sein du Groupe tout en donnant l’opportunité aux dirigeants et collaborateurs d’AXA de rencontrer des entrepreneurs et de se confronter à de nouveaux business model. C’est pourquoi nous souhaitons donner une nouvelle dimension à cette initiative en créant un fonds d’investissement stratégique global, capable de mener à bien différents types d’investissements, de l’amorçage au capital-risque, et ce à l’échelle mondiale ».

 

AXA Strategic Ventures : financer les startups innovantes au-delà de l’amorçage

Le lancement d’AXA Strategic Ventures s’inscrit dans le cadre d’une stratégie globale du Groupe AXA de financement et de soutien à l’innovation dans les métiers de l’assurance et d’autres secteurs connexes tels que la gestion d’actifs, les technologies financières et la santé.

AXA Strategic Ventures vise à accompagner le développement de technologies nouvelles et d’approches disruptives portées par de jeunes entreprises innovantes qui ont le potentiel pour améliorer l’expérience client dans les métiers d’AXA.

AXA Strategic Ventures investira aussi bien dans des startups en phase d’amorçage (« Seed ») que dans des entreprises plus matures (« Venture » ou phase de capital-risque). Actif à l’échelle mondiale, le fonds disposera de 6 bureaux (San Francisco, New-York, Londres, Paris, Zürich, Berlin et en Asie dans un futur proche). Il pourra tirer parti des ressources du Groupe AXA pour créer un effet de levier et accélérer ainsi la réussite de startups prometteuses, capables de se déployer rapidement à l’échelle mondiale.

Le fonds est dirigé par François Robinet, jusqu’à présent Président Directeur Général d’AXA Life Invest.

 

AXA Factory, l’accélérateur des “pépites” de l’Assurtech et de la Fintech en France

« AXA Seed Factory » évolue en « AXA Factory », un programme d’accompagnement visant à accélérer la croissance de startups dans les domaines  de l’AssurTech et de la FinTech en France. AXA Factory rejoint ainsi les différents dispositifs d’accompagnement déployés par le Groupe AXA : AXA Lab, Start-in, AXA Data Innovation Lab, AXA Research Fund, AXA Direct Incubateur.

Les missions de l’AXA Factory : 

●     Détecter des projets numériques à fort potentiel dans l’AssurTech et la FinTech et/ou ayant des applications possibles dans ces secteurs : lancements d’appels à projets thématiques, création de “spin- off” pour des projets innovants issus d’AXA France, etc.

●     Favoriser et accélérer le développement de « pépites », hébergées notamment au sein de l’incubateur AXA Direct, en les faisant bénéficier de services à haute valeur ajoutée (coaching, conseils en financement, développement de business plans, etc.) et des moyens du Groupe AXA (mise à disposition d'infrastructures, appui au déploiement à l’international, recrutements, etc.).

●     Accompagner le développement de leurs offres en vue de créer des synergies directes ou indirectes avec les activités du Groupe AXA : investissement dans le cadre du fonds « AXA Strategic Ventures », déploiement sur de nouveaux marchés, développement et lancement de nouveaux produits, identification et création de nouveaux usages, tests de produits au sein du Groupe et accès facilité à des expertises-clés, etc. 

« Parmi les dispositifs déployés par AXA France, il manquait un programme d’accélération, ce qui est aujourd’hui le rôle de l’AXA Factory. Les startups accompagnées par AXA Factory pourront éventuellement bénéficier des  investissements de AXA Strategic Ventures, il s’agit là d’une réelle opportunité » ajoute Minh Q. Tran, Directeur Général d’AXA Factory et General Partner d’AXA Strategic Ventures. 

 

A propos d’AXA Factory

Créé en 2013 et initialement appelé AXA Seed Factory, AXA Factory est un accélérateur business dédié aux startups innovantes à fort potentiel pour les domaines de l’assurance, de l’épargne, de la banque et de la gestion d’actifs (#assurtech, #fintech). S’inscrivant dans la dynamique d’innovation du Groupe AXA, AXA Factory propose un programme d’accompagnement visant à accélérer la croissance de ces startups en leur faisant bénéficier de services à haute valeur ajoutée (coaching, conseils, appui au développement à l’international etc.) ainsi que des moyens industriels (mise à disposition d’infrastructures, développement de nouveaux produits, accès facilité à des expertises clés etc.) et d’un accès à des financements via AXA Strategic Ventures.

Pour plus d’informations : www.axafactory.com

Relations Presse 

Minh Q. Tran – Tel : +33 1 82 83 38 48 - [email protected]

 

AXA Launches a €200 million Venture Capital Fund to Foster Innovation and Improve Customer Experience

 

 

• The AXA Group launched AXA Strategic Ventures, a €200 million venture capital fund.
• The fund will invest in strategic opportunities that contribute to improving customer experience.

 

AXA today announced the launch of AXA Strategic Ventures (AXA SV), a €200M venture capital fund dedicated to investing AXA Group money in budding strategic innovations in the insurance, asset management, financial technology and healthcare service industries. Led by François Robinet, with a presence in San Francisco, New York, London, Paris, Zurich and Berlin, and plans to launch a presence in Asia in the near future, AXA SV will have on-the-ground coverage of investment opportunities across the globe on behalf of AXA Group companies.

AXA is launching AXA SV in order to harness technological disruption for the benefit of AXA Group companies. The quality of interactions with customers is a priority for the Group. Complementing internal efforts to improve customer experience by bringing in new approaches, technologies and business models being developed by young innovative companies can only lead to stronger results. The Group will aim to provide these start-up companies with funding expertise and market access, bringing together their entrepreneurial agility and the experience of a global leader in financial services.

“Through AXA Strategic Ventures, we will leverage our global reach, capital and scale to serve as an accelerating force for start-up companies which have the potential to bring new approaches to the insurance model. We are aiming through this investment to better serve our customers and improve our daily interactions with them”, said Henri de Castries, Chairman and CEO of AXA.

AXA has already successfully seeded start-ups in Europe, with investments in five companies through the “AXA Seed Factory” - a seed fund launched in France in June 2013 and that will now be part of AXA SV: Particeep, Widmee, Flyr International, Fundshop and ClimateSecure. These firms bring the latest technology to the areas of, respectively, investing, customer acquisition, travel insurance, portfolio management and climate change consulting. AXA SV will invest AXA Group money in various fields such as healthcare, peer-to-peer insurance, micro-insurance, data analytics, etc; thereby not only contributing to a stronger customer experience, but also anticipating their needs.

Find more information on AXA Strategic Ventures: www.axa.com, www.axastrategicventures.com

AXA Strategic Ventures’ portfolio companies to date:

• Particeep: https://www.particeep.com/accueil
• Widmee: http://www.widmee.com/
• FlyR International: http://flyrlabs.com/
• Fundshop: https://www.fundshop.fr/fr/
• ClimateSecure: http://www.climatesecure.eu/

Sharing Is Declaring: How the Peer-to-Peer Economy Affects Your Taxes - US News

If you use Zipcar for business-related purposes, membership and driving charges may be tax-deductible.

By Molly McCluskey Feb. 19, 2015 | 1:55 p.m. EST + More

via money.usnews.com

Le crowdfunding a passé un cap en France

Kickstarter va bientôt arriver en France. - © Kickstarter

Les sites français de financement participatif ont récolté 152 millions d'euros en 2014. Et avec le géant américain Kickstarter qui pourrait s'installer bientôt dans l'Hexagone, la collecte d'argent devrait continuer de s'amplifier.

Le financement participatif se porte très bien en France. Les sites français de crowdfunding ont récolté 152 millions d'euros en 2014. Cela représente un quasi-doublement par rapport à 2013, selon les chiffres de l'association Financement Participatif France publiés mercredi 18 février. La France devient le pays en tête du secteur en Europe continentale.

Dans le détail, les plateformes de prêt ont collecté 88,4 millions d'euros l'an dernier (+84%), suivies par les plateformes de don qui ont récolté 38,2 millions d'euros (+97%) et par les sites d'investissement en capital, qui ont collecté 25,4 millions d'euros (+146%).

En moyenne, les projets présentés sur les sites de financement en capital ont récolté 376.733 euros, ceux présenté

via bfmbusiness.bfmtv.com

#42Valley : L'accélérateur de startups par et pour les étudiants entrepreneurs de 42 - Maddyness

inShare64

via www.maddyness.com

L'Argus de l'Assurance - Axa Seed Factory investit dans l'assurance des risques climatiques - Assurance, assurance en ligne

Le fonds d'amorçage Axa Seed Factory vient de créer une start-up baptisée Climate Secure. Fondée en partenariat avec la société de conseil en risques météorologiques Climpact-Metnext et avec Axa Corporate Solutions, entité du groupe Axa spécialisée dans les grands risques, cette jeune pousse a pour vocation de fournir des solutions de prévention et d'assurance aux entreprises ayant une activité «météo sensible» (transport, tourisme, construction, etc.).

Réduire l'impact financier des changements climatiques

Ces prestations sur-mesure ont pour but de réduire l'impact financier d'un aléa climatique – augmentation de température, précipitations supérieures à la normale, etc. - et complètent les dispositifs traditionnels d'assurance contre les catastrophes naturelles.

Depuis sa création en juin 2013, Axa Seed Factory concentre ses investissement dans des projets innovants qui concernent les secteurs de l'assurance et de la banque.

En janvier dernier, le fonds d'amorçage a investi dans Flyr, une start-up qui intervient dans le domaine du big data appliqué au tourisme. La création de Climate Secure est la cinquième opération réalisée en 18 mois.

via www.argusdelassurance.com

Axa Seed Factory backs ClimateSecure | Reactions - Global Insurance

Axa Seed Factory has created ClimateSecure, a weather-risk solutions provider

Axa Seed Factory, a seed fund owned by French insurer Axa for the benefit of start-ups in digital insurance and banking, has created ClimateSecure, a business that aims "to provide tailor-made insurance and weather-risk management solutions to help its clients...

via www.reactionsnet.com

Why insurance brokers need to wake up to digital innovation Insurance Age

Digital innovator and Worry+Peace founder James York explains why he's a partner in the FinTech Futures campaign.

If we were to do a SWOT (strengths, weaknesses, opportunities and threat) analysis for the insurance broking and entire industry, I'd likely expect matching columns for both opportunities and threats.

And that's what makes digital so important.

All across the insurance sector we need to embrace digitally enabled innovation and decide if we're going to be proactive or reactive.

Innovation
I recently spoke to a broker to explore helping - for free on this occasion by the way - their business use digital technology better. Here's their response paraphrased:

"We believe in quality customer service, so we have no intention to sell online." End of line, thanks but no thanks.

Woah, there! I said digital innovation, technology - I didn't JUST mean quote and buy.

The fact their website wasn't responsive on a mobile phone and visitors may instantly mark down their brand on that basis didn't register with them.

Novelty
And that's the problem. We (the insurance sector) still have a really narrow view of what digital means to us.

For many lines of business the blandly-named "quote and buy" is still a novelty.

It's not a fault, it's just the way we've traditionally innovated. We are a regulated club of rivals, we look to each other for the most reliable marginal gains.

To truly embrace all things Silicon Valley - and latterly all the tech clusters in the UK - we need to look far beyond our own brightest stars.

To be opportunistic, we need to acknowledge that our innovation needs a good dose of competitive and spirit.

Unconvinced
For too long we've bundled services and bought off the shelf. I am a big fan of the software houses - but I remain unconvinced we are using them or challenging them correctly.

Then there is the spectrum of innovation. What myself and Insurance Age have agreed is the need to view our industry as a kind of "insurance stack".

That's the outward facing innovations; new products or content tools at the front end aimed at consumers.

The services between our sector, such as wholesale insurers MGAs, rating hubs, binder or scheme maintenance.

And, finally, the start-ups; new entrants that drop either in to the front or the middle. They need to start somewhere and some don't make it.

Plan
I'd venture that we don't just need one digital plan - we need one for each area.

It's in all of our interests to nurture innovation at each point - otherwise who will this generation of the industry be able to consolidate?

Plus, if you're not convinced by my opinion - consider your obligations under the FCA and CII.

Is it fair to consumers or professionally adequate to let others dictate how we do business? To have a say, you have to play ball.

It may sound ominous and it may challenge our ability to "play nice" with each other - but trust this hunch: if we aren't leading our sector's innovation, someone else is.

Does that sound like the way a savvy 300-year old profession secures a longer tenure? Say it ain't so...

Share your thoughts on Twitter using the hashtag #IAFinTech

James York is an insurance broker and founder of Worry+Peace.

via www.insuranceage.co.uk

The best cities to work in as a FinTech developer - JAXenter

London image via Shutterstock

Where in the world should you be if you’re eager to have your finger on the pulse of FinTech? What cities best represent the culture, technology, innovation and growth that the FinTech space is continuing to have?

FinTech is growing at an incredible rate, so there’s no better way to get involved than to emerge yourself in the cities at the heart of the FinTech boom. If you’re looking to get amongst it, consider this your own personal travel guide to the cities that are making waves in FinTech.

via jaxenter.com

Health insurance roadmap for 2015

Suresh Sugathan

There has been a considerable progress in the healthcare ecosystem, including healthcare delivery and insurance in the past decade. However, despite the progress, the current state of India’s healthcare outcome leaves much to be desired. India still trails in health outcomes when compared to other developed and developing countries. For instance, in our country, the penetration levels of the health insurance industry is much lower whereas the share of out of pocket expenditure, for a majority of population (towards healthcare facilities), is significantly higher. The penetration of this sector today stands at 7% with the retail-sub segment being close to 4%.

However, if we include the government-run schemes then the cumulative penetration stands at 15%. Given the population of the country, this is considerably less. Nonetheless, the rising healthcare cost inflation, due to advancements in medical technology, changing disease pattern (which are more towards lifestyle diseases) and increase in awareness, the health insurance market has significant headroom for growth in the coming years. Besides, with the new government’s special focus on preventive care, accessibility of healthcare facilities, including AYUSH treatments and insurance to all, the outlook for this segment looks positive.

A look at 2015 reveals that the key focus areas for the industry will be awareness, product innovation, accessibility, value-added services and preventive care, when it comes to catering to a policyholder’s requirements, with data analytics and technology being the key enablers. Consumers will see a range of health awareness campaigns emphasising on importance of health insurance. The industry will have to position this tool correctly to create a need for health insurance in the market and this will be instrumental for improving the penetration of health insurance within the country. In 2015, we are also likely to see innovation in the space of health insurance products.

Today we have treatments like ayurveda, homoeopathy, physiotherapy, pregnancy and outpatient expenses etc. being covered under the retail mediclaim policy which was not available in the market two to three years ago. The future lies in the easy to understand healthcare products and services which are simpler, yet which cater to all the requirements of the customers.

Apart from healthcare products, insurers will also play a key role in helping customers deal with lifestyle diseases and reduce their out of pocket spending towards healthcare. Today they also offer value-added services such as discounts on both OPD and IPD treatments, pharmacies, health checkups, eye and dental checkups etc. Going forward, along with these services, we will see special focus being dedicated towards preventive care and wellness, where the insurers will offer their customers various wellness services. For instance, discounts at spas, wellness treatment centres, ayurvedic treatments, yoga and gyms etc. as well as special awareness and health assessment drives.

Another major concern that the industry needs to address is the affordability and accessibility of insurance, especially in the tier 2 and tier 3 cities and the rural population of India. To reach out to this segment, business models have to be created that consist of simple products for people with low disposable income, coupled with the use of technology. This will ensure that the insurers reach out to the remotest corner of the country. For instance, at Bajaj Allianz we plan to come up with 4,000 virtual offices catering to

via www.tribuneindia.com

AXA backed ClimateSecure, parametric weather risk startup launches | Artemis.bm

AXA’s specialist digital insurance and banking seed fund, AXA Seed Factory, has partnered with AXA Corporate Solutions and French climate and weather services firm Climpact-Metnext, to launch ClimateSecure, an insurance and weather-risk management platform.

The new start-up seeks to “provide tailor-made insurance and weather-risk management solutions to help its clients understand, mitigate and insure financial losses caused by weather anomalies,” explained AXA in a press release.

ClimateSecure says it will “work hand-in-hand with our clients, meteorologists, financial experts and other brokers in order to build indexes that most accurately reflect our clients’ risk.”

AXA Corporate Solutions’ extensive and dedicated focus on insurance solutions for large corporations across the globe and its expertise in parametric weather insurance solutions, coupled with Climpact-Metnext’s broad international weather consulting service, is seen by those close to the venture as an equally complimentary partnership.

ClimateSecure notes that adverse weather affects roughly three-quarters of European businesses, while record hot and cold temperatures continue to happen more often, bringing floods and droughts, contributing to the fact that around 30% of European countries’ GDPs are weather-sensitive.

ClimateSecure also states that by the year 2100 the average temperature is expected to rise by 4 degrees Celsius, coupled with a predicted five-fold increase in extreme weather events over the next 40 years, such as severe droughts, flooding and hurricanes.

In response to this AXA, through its subsidiaries, has again turned its focus to weather-based insurance solutions, and with the help of a leading European weather service seeks to mitigate the impact to businesses from weather anomalies.

Artemis wrote yesterday that AXA CS had partnered with the World Bank in order to provide parametric weather-based insurance protection to the most vulnerable regions of the globe.

And now the firm are hoping to offer businesses small and large, the opportunity to affordably and comprehensively insure their businesses against the increasing severity and frequency of adverse weather events.

“As a matter of fact, even a slight increase in temperature or greater-than-average rainfall over a short period can have a direct and often drastic impact on companies’ financial performance,” explain the firms.

To highlight just how damaging to company revenues adverse weather can be, ClimateSecure offers some interesting figures, from several sectors.

For construction, in France alone during 2013 25% of on site work interruptions were because of bad weather, creating an average delay of up to 3 months for construction sites in the region.

Transportation companies also feel the financial impact of weather events, as inaccessible roads and the inability to fly planes causes stress on profits. In the first-quarter of 2014 a U.S. airline incurred losses of €200 million during the cold wave.

Beyond this, extreme weather events that bring unusual amounts of rainfall can seriously impact the leisure sector, as it’s estimated that rainy days can cause a 20% decline in theme park visits, for example.

Whether it be down to climate change or simply weather variability and exposure to its effects, it’s clear that businesses stand to benefit from comprehensive weather-based insurance protection against the world’s perils.

All of this is aided by the ever-expanding developments within space and computer technology, including high-resolution satellite imagery, and the ability to process far more granular and larger sets of data from rainfall, drought, air quality, ice surface and so on, creating the possibility for more accurate and affordab

via www.artemis.bm

#Insurtech : @AXASeedFactory announces its 5th investment: @_ClimateSecure, a startup specialized in #insurance and weather-risk solutions

In partnership with Climpact-Metnext and AXA Corporate Solutions, AXA Seed Factory has created a startup: ClimateSecure. ClimateSecure’s aim is to provide tailor-made insurance and weather-risk management solutions to help its clients understand, mitigate and insure financial losses caused by weather anomalies. For “weather-sensitive” sectors such as the construction, transportation and agriculture industries, anticipating and insuring these risks is essential. 

 

Climate change is causing an increase in weather anomalies throughout the world. As a matter of fact, even a slight increase in temperature or greater-than-average rainfall over a short period can have a direct and often drastic impact on companies’ financial performance.  

For Minh Q. Tran, Managing Partner of AXA Seed Factory, “For many actors, preparing for the financial consequences of climate change is essential. By combining the expertise of meteorologists, data scientists, and insurance specialists ClimateSecure adopts an innovative approach in order to offer its clients entirely customizable solutions.”

AXA Corporate Solutions (AXA CS), AXA Group’s entity dedicated to insurance solutions for large corporations worldwide brings its expertise in terms of insurance products. On its end, Climpact-Metnext offers expertise as European leader in weather consulting services.

The combination of these two types of expertise will allow ClimateSecure to offer products and services that are particularly innovative for both weather-sensitive companies but also for brokers seeking new solutions for their clients. ClimateSecure’s partners will also be able to better understand their activity’s vulnerability towards certain weather events, limit the negative impacts that ensue, and finally insure their results against a rainy summer, a snowless winter, or a dry spring, etc…

“Beyond traditional insurance covers against natural catastrophes, many companies need to protect themselves against weather anomalies, which are increasing in frequency. Facing adverse weather at the wrong moment can lead to a 20 to 25% decrease in revenues over a quarter for companies in industries such as energy and tourism. In response to these growing needs, AXA Corporate Solutions has developed a product line based on data from weather stations and satellite imagery”, explains Tanguy Touffut, head of Parametric Insurance at AXA Corporate Solutions.

Finally, according to Patrice Massat, president of Climpact-Metnext, “On the one side, AXA CS developed unique competencies in the market on the protection of weather risks and on the other side, Climpact-Metnext is a leader in weather consulting services. It was natural to create a partnership in order to offer the best possible solutions to our clients and brokerage partners.”

 

About ClimateSecure

ClimateSecure provides insurance and weather-risk management solutions to help clients understand, mitigate, and insure financial losses caused by weather anomalies.For weather-sensitive industries such as the construction, transportation, and farming industries, anticipating and insuring weather risk is essential. ClimateSecure adopts an innovative approach by combining the expertise of meteorologists, data scientists and insurance specialists in order to provide tailor-made solutions. For more information: www.climatesecure.eu 

 

About AXA Seed Factory

AXA Seed Factory is a seed fund specialized in digital insurance and banking. The fund acts as a holding built to help experienced entrepreneurs to launch new disruptive ideas. It also operates like a business incubator and ideas accelerator which co-invests with business angels or venture capital funds in innovating startups with strong synergies among them. For more information: www.axaseedfactory.com

 

About Climpact-Metnext

CLIMPACT-METNEXT is the European leader in consulting services for weather and climate adaptation strategy. We offer our clients forecasting and decision-making solutions and services to better leverage climate and weather factors to improve performance. For more information: www.climact-metnext.com

 

About AXA Corporate Solutions With over 1500 employees and an international network of over one hundred countries, AXA Corporate Solutions is the AXA Group’s entity dedicated to Specialty Markets worldwide and to large corporations in terms of Property and Casuality. AXA Corporate Solutions is also the Group’s expert on parametric insurance for weather-related risks. For more information: www.axa-corporatesolutions.com

 

#Assurtech : @AXASeedFactory annonce son 5ème investissement : @_ClimateSecure, une startup spécialisée dans l’#assurance des risques climatiques

AXA Seed Factory a créé une startup en partenariat avec Climpact-Metnext et AXA Corporate Solutions : ClimateSecure. Celle-ci a pour objectif de fournir des solutions de prévention, de gestion et d’assurance des risques climatiques. Pour des secteurs « météo-sensibles » comme la construction, les transports ou l’agriculture, bien anticiper et assurer ces risques est primordial.

 

Le changement climatique entraîne une multiplication des « anomalies météorologiques » dans le monde entier. Or, une augmentation de température de quelques degrés ou des précipitations légèrement supérieures à la normale sur quelques mois peuvent avoir un impact fortement négatif sur la performance financière des entreprises.

« Pour de nombreux acteurs, se prémunir des conséquences financières du changement climatique est indispensable. ClimateSecure adopte une approche innovante en combinant l’expertise de météorologues, de spécialistes du big data et de professionnels de l’assurance, afin de proposer à ses clients des solutions entièrement sur-mesure. » indique Minh Q. Tran, directeur général d’AXA Seed Factory.

AXA Corporate Solutions (AXA CS), l’entité du Groupe AXA dédiée aux grandes entreprises, apporte son expérience en matière de produits d’assurance. Climpact-Metnext fournit quant à elle son expertise de leader européen des services de conseil météorologique.

La combinaison de ces deux expertises va permettre à ClimateSecure de proposer des produits et services particulièrement innovants aussi bien pour les entreprises météo-sensibles que pour les cabinets de courtage désireux d’apporter de nouvelles solutions à leurs clients. Les partenaires de ClimateSecure pourront ainsi mieux comprendre la sensibilité de leur activité à certains évènements météorologiques, limiter les impacts négatifs qui en découlent et enfin assurer leur résultat d’exploitation, par exemple contre un été trop pluvieux, un hiver sans neige, un printemps trop sec, etc.

« Au-delà des solutions d’assurance traditionnelles contre les catastrophes naturelles, de nombreuses entreprises ont besoin de se protéger contre des anomalies météorologiques de plus en plus fréquentes. De mauvaises conditions météorologiques au mauvais moment peuvent entraîner une baisse de 20 à 25% du chiffre d’affaires sur un trimestre pour certaines entreprises dans l’énergie ou le tourisme. AXA Corporate Solutions a développé une gamme de produits pour répondre à ces besoins en s’appuyant sur des données de stations météorologiques ou des données satellitaires. » précise Tanguy Touffut, directeur du département assurance paramétrique chez AXA Corporate Solutions.

Enfin d’après Patrice Massat, président de Climpact-Metnext, « D’une part, AXA CS a développé des compétences uniques sur le marché de la protection contre les risques climatiques, d’autre part, Climpact-Metnext est un leader du conseil en risques météorologiques. Il était donc naturel de nouer un partenariat pour pouvoir apporter les meilleures solutions possibles à nos clients ou à nos partenaires du courtage. » 

 

A propos de ClimateSecure

ClimateSecure fournit des solutions de prévention, de gestion et d'assurance des risques climatiques. Pour des secteurs "météo-sensibles" comme la construction, les transports ou l'agriculture, bien anticiper et assurer ces risques est primordial. ClimateSecure adopte une approche innovante en combinant l'expertise de météorologues, de spécialistes du big data et de professionnels de l'assurance, afin de proposer à ses clients des solutions entièrement sur-mesure. Pour plus d'informations : www.climatesecure.eu

A propos d’AXA Seed Factory

AXA Seed Factory est un fonds d'amorçage spécialisé dans le domaine du numérique autour des métiers de l'assurance et la banque. Le fonds fonctionne comme une holding animatrice pour aider des entrepreneurs expérimentés à lancer de nouvelles idées disruptives. Elle opère également comme un incubateur business et accélérateur d'idées qui co-investit avec des « Business Angels » ou des fonds de capital-risque dans des start-ups innovantes à fort potentiel qui ont de fortes synergies entre elles et les aide à fédérer leurs moyens. Pour plus d’informations : www.axaseedfactory.com

 

A propos de Climpact-Metnext

CLIMPACT-METNEXT est le leader européen du conseil en stratégie climatique. Elle propose à ses clients des solutions et des services de prévision et d’aide à la décision permettant l’amélioration de leur performance par une meilleure prise en compte des facteurs météo et climat. Pour plus d’informations : www.climpact-metnext.com

 

A propos de AXA Corporate Solutions

Avec plus de 1 500 employés et un réseau international d’une centaine de pays, AXA Corporate Solutions est l’entité du Groupe AXA dédiée aux grandes entreprises en termes de Risk management, Souscription et Gestion des sinistres. AXA Corporate Solutions est également le centre de compétence du Groupe sur l’assurance paramétrique pour les risques climatiques.Pour plus d’informations : www.axa-corporatesolutions.com

 

 

Axa launches insurance to let farmers bet on the weather - Telegraph

Droughts around the Horn of Africa in 2011 led to widespread crop failures and famine Photo: AP/Rebecca Blackwell

 

 

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By Marion Dakers, Financial services editor

7:40PM GMT 14 Feb 2015

Comment

 

The insurance giant Axa is allowing compan

via www.telegraph.co.uk

Météo : AXA se développe dans l’assurance indicielle, Banque - Assurances

L’assureur vient de signer un nouveau partenariat avec la Banque Mondiale. Il vise à favoriser l’assurance des agriculteurs vulnérables aux aléas climatiques dans les pays en développement.

via www.lesechos.fr

Study: Weather-Based Insurance Benefits Farmers

new study shows that weather-based insurance will help smallholder farmers to withstand the effects of climate change and market shocks. The study was launched recently in London where Nigerian officials also gathered to learn how they can implement the program for their farmers. 

The report, "Scaling Up Index Insurance for Smallholder Farmers" was carried out by the CGIAR Research Program on Climate Change, Agriculture and Food Security, (CCAFS), and the International Research Institute for Climate and Society at Columbia University in New York. It showcased projects that have overcome many of the challenges that have hindered famers from having access to index insurance. 

This type of insurance provides support to small farmers when there’s not enough rainfall to grow sufficient yields. The insurance is based on a specific “index” – for example wind speed or rainfall for crops.

Dr. Debisi Araba, the team leader for the Environment and Climate Change Unit for Nigeria’s Ministry of Agriculture, explained the appeal of the insurance to food producers in his country.

“Nigeria has about 15 million smallholder farmers, and it’s our aim to ensure that each of those farmers not only remain productive but are able to cope with the shocks and stresses of weather induced climate change.”

“In 2012, we had massive floods along the east and southern parts of the country. And this not only affected the livelihoods of the farmers but it also made us acutely aware that farmers needed to be insulated from the shocks and stresses of climate change and one of the methods that we want to use is index insurance,” explained Debisi.

He said CCAFS scientists provided them with a technical workshop in London where they designed a weather-index insurance program for small-scale farmers in Nigeria. 

Dan Osgood, lead scientist of the financial instrument sector team at International Research Institute for Climate and Society at Columbia University and also the co-author of the study, explained how the index insurance program can improve the lives of smallholder farmers.

“For many farmers, climate change means more bad years, and so adaptation means taking advantage of the remaining normal years and being more productive in those years—you know, basic math," he said. "The problem is the kinds of things that you can do to become more productive like using a quality seed or taking out a loan for some inputs or buying an ox to be able to plow, those things involve taking a chance.”

“So even if four years out of five you have four years that are OK,” he continued, “if you have one year out of five that’s bad, you don’t know if that’s the year that you’re making this decision to invest in something like an ox or quality seeds. And if this is the year, then you can fail completely and lose the farm.”

Debisi said in Nigeria, one of the biggest challenges to implementing insurance as a safeguard against losing the farm is having access to data.

He said access to data used to be a constraint. Now they have concluded they have enough data to develop an insurance mechanism.

“We’re working with the IRI — International Research Institute of Columbia University -- to work with the Nigerian Meteorological Agency -- where we’re going to collate all the data that we have from the weather stations across the country both at the federal and state levelsm" he said. "We’re going to synthesize these and produce high quality information that will form the backbone of the weather index insurance.”

The new crop insurance program would incorporate other programs already in existence.

One, called

via www.voanews.com

Weather-based insurance ‘could benefit smallholders’ - SciDev.Net Sub-Saharan Africa

[NAIROBI] Weather-based index insurance can work for millions of smallholder farmers in Africa and the rest of the developing world on a large scale, a report says.
 
The report by CGIAR’s Research Program on Climate Change, Agriculture and Food Security (CCAFS) and the International Research Institute for Climate and Society (IRI) at the US-based Columbia University was launched last month (26 January) and discusses cases from Ethiopia, Kenya, Rwanda, Senegal, Tanzania, India and Mongolia.
 
Researchers examined current operational insurance programmes that have been expanded to cover and transform the livelihoods of thousands or millions of farmers.
 
Helen Greatrex, lead author and a postdoctoral researcher at IRI, explains that index insurance can help populations whose livelihoods depend on the weather — such as smallholder farmers and pastoralists — to manage changing climate risks.

via www.scidev.net

Le crowdfunding est un excellent moyen de rapprocher les français de l'entreprise

Le crowdfunding, appelé également financement participatif, permet à des particuliers de financer des porteurs de projets par l'intermédiaire d'une plateforme Internet. A l'occasion de la parution du sondage « Les français, leurs entrepreneurs et le crowdfounding » mené par l'Institut Think et co-commandité par Le salon des Entrepreneurs, Lendopolis et l'Ordre des Experts Comptables, Petite-Entreprise.net s'est penché sur ce phénomène encore récent mais dont le développement semble en faire une alternative de plus en plus crédible aux techniques de financement traditionnelles des TPE/PME.

Coté investisseur, le crowdfunding répond à des motivations différentes
Chez Petite-Entreprise.net, nous avons encore très peu de demandes concernant le crowdfunding, indique Odile Olivier, même si le terme est désormais connu des dirigeants de TPE (76% selon l'étude menée par l'institut Think). Ce que nous savons, c'est que les dirigeants de TPE maîtrisent de mieux en mieux Internet et concèdent, pour les plus timorés, qu'Internet est devenu incontournable dans leur business. De plus en plus, les entrepreneurs s'y intéresseront, mais pour l'heure, cela ne viendra pas remplacer votre banque, où vous avez un seul interlocuteur à convaincre, et pas des dizaines de petits investisseurs (1000€ d'investissement par particulier au maximum). Par nature, le crowdfunding s'adresse à tous, et donc à tous les types de motivation d'investir : dimensions sociale, de proximité, ou simplement pécuniaire, les raisons d'investir sont assez partagées, avec une conséquence majeure : il faudra couvrir toutes ces dimensions si vous ne voulez pas vous "couper" d'une grande partie de vos investisseurs potentiels.

Un beau moyen de promouvoir l'esprit d'entreprise
Nous pensons en revanche qu'à court terme, le crowdfunding a un bel avenir pour faire rapprocher le monde de l'entreprise de celui des particuliers. C'est aussi un excellent moyen de libérer les créateurs de la peur qu'ils ont qu'on "leur vole leur idée", un réflexe latin qui nous éloigne de la mentalité anglo-saxonne plus ouverte à ce titre. Mais il faudra du temps et de belles "success stories" pour faire du crowdfunding une alternative au financement des entreprises, et non simplement un coup de pouce à l'activité.

via www.itrmanager.com

There’s No Such Thing as Anonymous Data - HBR

About a decade ago, a hacker said to me, flatly, “Assume every card in your wallet is compromised, and proceed accordingly.” He was right. Consumers have adapted to a steady thrum of data breach notifications, random credit card charges, and out-of-the-blue card replacements. A privacy-industrial complex has sprung up from this — technology, services, and policies all aimed at trying to protect data while allowing it to flow freely enough to keep the modern electronic bazaar thriving. A key strategy in this has been to “scrub” data, which means removing personally identifiable information (PII) so that even if someone did access it, they couldn’t connect it to an individual.

So much for all that.

In a paper published in Science last week, MIT scientist Yves-Alexandre de Montjoye shows that anonymous credit card data can be reverse engineered to identify individuals’ transactions, a finding which calls into question many of the policies developed to protect consumers and forces data scientists to reconsider the policies and ethics that guide how they use large datasets.

de Montjoye and colleagues examined three months of credit card transactions for 1.1 million people, all of which had been scrubbed of any PII. Still, 90% of the time he managed to identify individuals in the dataset using the date and location of just four of their transactions. By adding knowledge of the price of the transactions, he increased “reidentification” (the academic term for spotting an individual in anonymized data) to 94%. Additionally, women were easier to reidentify than men, and reidentification ability increased with income of the consumer.

To be clear: Reidentification means that the researchers could identify all the transactions that belong to an individual, but de Montjoye didn’t attempt to say which individual. For example, if he wanted to know my transactions, he’d need to take additional steps to cross reference something he knew about me to his data. If, for example, I posted on Facebook about a trip to a restaurant, that could provide the key to connecting me to an entire portfolio of anonymous transactions. “We didn’t try to put names on it,” de Montjoye says, “but we know basically what you need to do that.”

What’s more, de Montjoye showed that even “coarse” data provides “little anonymity.” He lowered the “resolution” on his data by looking only at areas where purchases happened, not specific shops, and 15-day time frames in which they happened, not specific dates. He also broadened the price range of the purchases so that transactions that previously were categorized as between $5 and $16 were now put in a bin more than twice as big that ranged between $5 and $34. Even with low-res data like this, he could pluck out four transactions and reidentify individuals 15% of the time. By looking at 10 such data points, he could, remarkably, reidentify individuals 80% of the time.

It’s not the first time de Montjoye has played the part of privacy killjoy. In previous work he pulled off a similar trick, reidentifying individuals using anonymous mobile phone location data. (Others have performed similar parlor tricks with other datasets.) And while he hasn’t yet tested other types of large datasets, such as browsing histories, he believes that “it seems likely” that they, too, are susceptible to reidentification.

The implications of de Montjoye’s work are profound. Broadly, it means that anonymity doesn’t ensure privacy, which could render toothless many of the world’s laws and regulations around consumer privacy. Guaranteeing anonymity (that is, the removal of PII) in exchange for being able to freely collect and use data — a bread-and-butter marketing policy for everyone from app makers, to credit card companies — migh

via hbr.org

@AXASeedFactory : L’expérience client métamorphose le marketing, Directions Marketing

Au cœur de la stratégie des marques, l’expérience client fait émerger de nouvelles organisations : les directions marketing vont s’allier avec la DSI, nouer des partenariats et faire monter en puissance les digital natives.

 

Article(s) associé(s)

• La relation client bouscule l'informatique
• Marketing : toujours plus de digital
• Les obstacles à l'expérience « multicanale »

« Les directeurs marketing qui tireront leur épingle du jeu seront ceux qui auront la capacité de devenir maître de l’expérience client », lance Nicolas Glady, professeur en marketing titulaire de la chaire Accenture Strategic Business Analytics de l’Essec. Après une dizaine d’années axées sur la profitabilité et les réductions de coûts, les directions marketing sont depuis 3 ans en quête de croissance. « Les marques se refocalisent sur les besoins du consommateur afin de se doter de pipelines d’innovation robustes et bien adaptés », explique Claire Babel, Partner Consumer Markets Practice du cabinet Heidrick & Struggles. L’expérience client se place au cœur de cette stratégie : tous les points de contact directs ou indirect avec le client sont passés en revue pour augmenter la visibilité de la marque et améliorer le service client. Quels que soient les canaux de communication utilisés, l’univers présenté doit paraître uniforme et continu (« seamless »), notamment entre le online et le offline.

Rapprochements avec la DSI

De tels objectifs ne sont réalisables que si le directeur marketing s’appuie sur tous les métiers de l’entreprise et notamment la DSI. « Une réelle convergence s’opère entre la stratégie, le marketing, la technologie et les systèmes d’information, analyse Nicolas Glady. Tout est orchestré par le directeur marketing, qui devient le premier client de la DSI. » Longtemps considérée comme difficile, la relation entre les deux fonctions s’avère incontournable. Une étude récente du cabinet de conseil Gartner estime que d’ici 2018, une collaboration étroite entre CMO et DSI pourrait augmenter de 25% le retour sur investissement des investissements technologiques initiés par les directions marketing.

Révolution managériale

« Le big data fait entrer l’IT et ses geeks dans l’univers des marketers », explique Claire Babel, Partner Consumer Markets du cabinet Heidrick & Struggles. Un vent nouveau qui, selon elle, va impacter la dynamique d’équipe et exige de repenser le management : « il faut mixer les équipes et les générations, encourager le changement, travailler sur la cohésion et l’empowerment. Cette nouvelle organisation marque la fin des silos et va apporter d’avantage d’ouverture et de transversalité. »

Nouvelles collaborations

A l’heure où le digital rebat les cartes de la compétition entre les marques, le time to market, le délai de mise sur le marché, se réduit. « Dans un contexte qui évolue très vite, le pire serait de ne pas bouger ! , assure Véronique de Pompignan, partner consumer & retail du cabinet de chasseur de tête Boyden. Le directeur marketing doit toujours être sur la brèche, anticiper, se remettre en question et de tenter de nouvelles choses. » Pour répondre à ces nouvelles exigences, Nicolas Glady prédit une prise de pouvoir progressive des digital natives au sein des directions marketing : « il faudra apprendre à les faire monter vite, comme on sait si bien le faire aux Etats-Unis. » Cela passe par également par l’émergence d’une culture positive de l’échec et mais aussi par l’affranchissement de la lourdeur des process internes. 

Et pour répondre au mieux à l’impératif de réactivité, pourquoi ne pas nouer des partenariats avec d’autres entreprises ? C’est le choix d’Axa France. « Les technologies évoluent tellement vite que nous ne cherchons pas être à les meilleurs sur toute la chaîne, indique Amélie Oudéa Castera, directrice marketing, service et digital chez AXA France. Nous misons sur le « best of breed » et choisissons de travailler par écosystème en prenant le meilleur chez des spécialistes. » Ainsi, pour toucher le marché des objets connectés et accélérer la transformation de l’entreprise, l’assureur a créé Axa Seed Factory, un fonds d’amorçage de 10 millions d’euros dédié aux jeunes entreprises innovantes. Au-delà de prises de participations dans des start-ups, Axa s’appuie sur des partenariats pour développer de nouvelles offres, mais aussi s’inspirer de ces jeunes pousses pour gagner en agilité.

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