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L’économie collaborative, entre partage et business
NINI LA CAILLE
Déjà, la formulation pose problème. Sharing economy, en anglais, se traduit difficilement par « économie du partage » en français. Et pourtant, n’en déplaise à ceux que cela choque, l’expression anglaise désigne bien cette économie que l’on qualifie, chez nous, de « collaborative », et qui repose sur la mise sur le marché de l’usage d’un bien que l’on possède. La voiture et le logement étant les biens les plus chers possédés par le plus grand nombre de ménages, c’est grâce à la mise à disposition de véhicules et de chambres, voire de logements entiers, que l’économie collaborative a pris son envol.
« Il est si difficile de donner une définition claire de tout ce que recouvre cette économie que le plus simple est de souligner le point commun qui relie tous ses aspects : le brouillage de la séparation entre bien public et bien privé », explique Pierre Musseau, coordinateur du pôle écologie-ville durable au sein duthink tank Terra Nova.
A spectre large, contours flous. Surtout quand il s’agit de quantifier la valeur des biens et services échangés, ainsi que de l’activité connexe créée. Une chose est sûre, le potentiel est perçu comme énorme. Le cabinet PriceWaterhouseCoopers s’est ainsi livré à une vaste analyse quantitative en publiant, à l’été 2014, une étude de grande envergure sur le potentiel de croissance de ce secteur : dans le cadre de l’échantillon retenu, il regroupe la finance participative (Kickstarter, par exemple), le « staffing » en ligne (intérim, travail à la tâche…), la location saisonnière de gré à gré (Airbnb, HouseTrip…),...
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