L’assurance-vie en ligne, c’est-à-dire les contrats 100 % web distribués par les pure-players de la banque et essentiellement gérés par Suravenir et Generali, a du souci à se faire. C’est en substance ce que nous dit un article des Echos.fr intitulé « Assurance-vie en ligne, le plus des FinTech ». En cause, l’arrivée sur ce marché de Fintech. Elles promettent de bousculer les acteurs traditionnels et ceux de l’assurance vie en ligne, en automatisant la gestion des contrats. Focus.
Etat des lieux de l’assurance-vie en ligne
L’assurance-vie en ligne, c’est d’abord les contrats distribués par ING Direct, Boursorama Banque, Fortuneo ou encore Altaprofits… Leur point commun ? Des frais réduits : 0 % de frais de versements, 0 % de frais d’arbitrage et des frais de gestion raisonnables, flirtant avec les 0,60 %.
Comparés aux contrats d’assurance-vie grands publics, commercialisés par les banques traditionnelles, les assurances vie en ligne affichent des performances bien plus élevées. A titre d’exemple, les supports en euros des contrats d’assurance vie internet ont servi des taux de rendement de l’ordre de 3 %, voire plus en 2015, quand les contrats grands publics atteignaient péniblement les 2 %.
Acteur fortement positionné sur le secteur bancaire, Softeam ne cache pas vouloir utiliser la belle somme levée pour financer de nouvelles acquisitions et ainsi poursuivre sa forte croissance.
L'entreprise de services du numérique Softeam annonce avoir levé une belle somme, 20 millions d'euros, "pour financer ses futures acquisitions". Cet acteur va ainsi pouvoir poursuivre sur sa lancée. Il avait en effet déjà réalisé des opérations de croissance externe en 2014 avec Genigraph (groupe Genitech), et surtout en 2012, avec une entreprise spécialisée dans le secteur financier, alors deux fois plus grosse, Cadextan.
Désormais fortement positionné sur ce secteur financier, avec plus de 750 consultants spécialisés, Softeam est passé de 21 millions d'euros de chiffre d'affaires en 2011 à 63 millions en 2013. En 2015, les 82 millions ont été atteint, et les 100 millions sont visés pour 2016. L'entreprise emploie 900 personnes. Outre son activité ciblant le secteur bancaire, Softeam fournit aussi des services digitaux (refonte de site internet, optimisation de campagne sur les réseaux sociaux...).
Parmi ses clients figurent la Société Générale, et BNP Paribas. Deux banques qui ont également participé à la levée annoncée, aux côtés de LCL, la Banque Populaire, et la BPI.
12.000 Fintech dans le monde ! Ces jeunes pousses couvrent aujourd’hui la quasi-totalité des métiers de la finance : moyens de paiement, tenue de compte, transfert d’argent, fourniture de liquidités…
Le développement de ces nouveaux acteurs, mais aussi la poussée des géants de l’Internet (les GAFA – Google, Amazon, Facebook, Apple – qui ont tous développé leurs propres solutions de paiement), pourrait provoquer à l’horizon 2025 une chute de 10 à 40% des revenus dans les métiers les plus attaqués, soit de 20 à 60% des profits générés.
(AOF) - Harvest a conclu un partenariat technologique avec Budget Insight, fintech française n°1 de l'agrégation des données de finances personnelles. Ce partenariat s'inscrit dans le contexte de digitalisation de la relation client des banques, compagnies d'assurance et CGPI. Ainsi, l'éditeur de logiciels dédiés au conseil financier et patrimonial va capitaliser sur la technologie de la fintech française Budget Insight afin d'étendre son offre d'agrégation aux données de finances personnelles.
Grâce à ce partenariat, Harvest proposera à l'ensemble de sa clientèle professionnelle de nouveaux services destinés au client final, au cœur d'un portail patrimonial. Intégré à l'extranet ou en autonome, ce portail permettra aux particuliers de centraliser automatiquement leurs données de finances personnelles en provenance de tous leurs établissements financiers. Ils pourront alors accéder à un premier niveau de conseil associant diagnostic patrimonial et " roboadvisor ". L'objectif pour l'établissement financier ou le CGPI est de renforcer l'accompagnement client et de générer du business.
Harvest met en place une équipe dédiée fonctionnant en mode " start up ", pilotée par Jérôme Chapotier, membre du comité de direction et du comité stratégique. Cette équipe va capitaliser sur l'ensemble des moteurs des composants métiers Harvest reconnus pour leur expertise et leur puissance de calcul (retraite, fiscalité, succession, optimisation de portefeuille, profil …), pour construire une application novatrice, notamment en terme d'expérience utilisateur.
Evercontact, le service cloud de mise à jour automatique des carnets d’adresses, lance son nouveau service inédit : Evercontact+. Ce service vient renforcer l’offre initiale en améliorant la portée des mises à jours et donc la performance du carnet d’adresses !
Evercontact + : la force du crowdsourcing
Evercontact+ s’appuie sur la force du réseau de ses utilisateurs pour accélérer et mutualiser la mise à jour des carnets d’adresses. Concrètement, les utilisateurs d’Evercontact+ bénéficient désormais de mises à jour immédiates chaque fois qu’une nouvelle signature électronique publique est détectée, sans avoir à échanger un email. Les premiers tests d’efficacité montrent qu’Evercontact+ permet de détecter jusqu'à 400% de mises à jour supplémentaires par rapport au service classique. Celles-ci sont partagées entre les utilisateurs Evercontact+ à condition qu’ils se connaissent déjà.
Comment ça marche ?
• Hélène fait partie des contacts de Jean. Ils ont tous les deux opté pour Evercontact+
• Hélène et Jean sont tous les deux en contact avec Benjamin.
• Benjamin met à jour son numéro de portable dans sa signature de mail.
• Benjamin et Hélène échangent par mail. Le carnet d’adresses d’Hélène est automatiquement mis à jour avec le nouveau numéro de Benjamin.
• et la magie d’Evercontact+ permet à Jean de bénéficier automatiquement de cette mise à jour
Evercontact+ : l’alliance de l’Intelligence Artificielle et du Crowdsourcing
Depuis son origine, Evercontact s’appuie sur des technologies sémantiques pour proposer aux utilisateurs un véritable assistant virtuel entièrement autonome, permettant de béneficier d’un carnet d’adresses toujours à jour. Afin de mieux répondre aux attentes de ses utilisateurs, Evercontact a souhaité aller plus loin en associant ses avancées en Intelligence Artificielle au crowdsourcing et ainsi offrir une solution inédite. Evercontact + est le résultat de plusieurs années de R&D.
“La R&D fait partie intégrante de l’ADN d’Evercontact depuis notre création. Nous avons travaillé d’arrache-pied pour faire évoluer notre service et répondre aux attentes de nos utilisateurs : davantage de mises-à-jour, plus rapidement. C’est tout naturellement qu’Evercontact+ est né. Nous sommes fiers de pouvoir présenter ce nouveau service qui est l’évolution la plus significative de notre offre depuis son lancement. Les premiers retours des utilisateurs sont plus que positifs et nous sommes confiants quant à l’avenir. Depuis le lancement 1 nouvel utilisateur sur 5 a été directement parrainé par un utilisateur existant.” précise Philippe Laval, Fondateur et CEO d’Evercontact.
Conditions d’utilisation
Evercontact+ est un service gratuit pour les utilisateurs individuels (particuliers et professionnels).
Service disponible à partir 5$/mois par utilisateur professionnel pour les options de partage de contacts, de centralisation de carnets d’adresses et de CRM.
Pour plus d’informations et/ou tester le service : cliquer ici
A propos d’Evercontact
Evercontact est le moyen le plus fiable pour disposer sur mobile ou desktop de tous les changements de coordonnées de ses interlocuteurs.
Evercontact est le seul service cloud qui identifie et extrait automatiquement les coordonnées présentes dans les signature d’emails pour mettre à jour le carnet d'adresses de l'utilisateur et/ou son CRM (Salesforce, Dynamics, Highrise ou Zoho). Comptant déjà plus de 200.000 utilisateurs, le service, qui fonctionne pour Gmail, Google for Work, Outlook et Office 365, permet de valoriser des informations essentielles pour tous les professionnels.
Pour plus d'informations : Service disponible en ligne et sur mobile.
VIVA TECHNOLOGY PARIS rassemblera à Paris du 30 juin au 2 juillet 2016 tous les acteurs de la transformation digitale. 5 000 startups auront la possibilité de collaborer avec plusieurs dizaines de milliers de dirigeants, d'investisseurs, d'universitaires et de leaders d'opinion du monde entier et participer à la transformation des grandes entreprises. Cet événement exceptionnel va consacrer la place de la France dans l'univers de l'innovation et des startups et sera ouvert le dernier jour au public.
Maurice Lévy, Président du Directoire de Publicis Groupe déclare : « Viva Technology Paris sera l'opportunité de créer un événement de portée mondiale réunissant tous les acteurs qui comptent. Cette manifestation sera un formidable atout à la fois pour nos entreprises, l'écosystème digital et le rayonnement de la France. »
Francis Morel, Président Directeur Général du Groupe Les Echos ajoute : « Startups et grandes entreprises doivent unir leurs forces pour permettre aux premières de se développer et aux secondes de se transformer. Viva Technology Paris est le premier événement mondial qui se donne cette ambition. »
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Partenaires de premier rang l'événement, AXA, BNP Paribas, EY, Google et Orange s'engagent à nos côtés pour faire de Viva Technology Paris un immense succès.
Henri de Castries, Président Directeur Général d'Axa complète : « La révolution numérique est en train de bouleverser la chaîne de valeur de nombreux secteurs économiques, la Fintech en est sans doute un des meilleurs exemples. Nous sommes donc très heureux de pouvoir participer au succès de cet événement, qui va permettre d'initier des synergies variées entre grands groupes et startups et contribuer ainsi au rayonnement de la France en matière d'innovation. »
« BNP Paribas est très heureux de s'associer à Publicis Groupe et au Groupe Les Echos dans la co-construction de cette initiative internationale, qui raisonne parfaitement avec l'action de BNP Paribas : décrypter les changements, réinventer notre métier, accompagner nos clients dans cette grande mutation numérique et soutenir l'ambition européenne. » déclare Jean-Laurent Bonnafé,
Administrateur Directeur Général du Groupe BNP Paribas.
« Hypercroissance, international, disruption : voici les principales caractéristiques des startups qui brillent aujourd'hui et qui n'ont jamais été autant sur le devant de la scène. Cette tendance se confirme par les montants investis dans ces entreprises qui ont bondi de 70 % au début de l'année 2015. Il reste à souhaiter à la France de faire émerger les nouveaux champions qui, espérons-le, seront les licornes de demain ». ajoute Jean-Pierre Letartre, Président d'EY France
« Nous sommes fiers d'être partenaires de Viva Technology Paris. Cet événement ambitieux sera, nous en sommes convaincus, à la hauteur du poids croissant qu'occupent les startups dans notre économie. En saisissant les opportunités qu'offre le numérique en France, en étant source de croissance et d'emploi, elles sont devenues, au même titre que les PME et les grands groupes, des acteurs incontournables de l'économie. Nous souhaitons accompagner leur développement et être l'un des moteurs de leurs réussites » déclare Carlo d'Asaro Biondo, Président pour l'Europe, le Moyen Orient et l'Afrique en charge des relations stratégiques de Google.
Stéphane Richard, Président Directeur Général d'Orange conclue : « Le soutien et l'investissement dans les start-ups est un élément clé de notre stratégie d'Open Innovation. À travers ses différents programmes, Orange est déjà très en
Silver Valley, l’accélérateur de l’innovation de la Silver Economie a fait ses cartons. L’écosystème qui fédère près de 250 acteurs en Ile-de-France s’installe au sein du projet territorial « Silver Innov’ », une plateforme immobilière installée au cœur de la ville d’Ivry-sur-Seine (94), le berceau de la Silver Economie.
Cette installation est apparue commune une évidence pour le cluster Silver Valley qui saisit ainsi l’opportunité d’être au plus proche des entreprises qu’elle accompagne au quotidien. Un cap important dans son développement qui répond parfaitement à son ambition : accélérer les innovations de la filière.
Mieux comprendre les besoins des entreprises de la Silver Economie et les accompagner de la façon la plus pertinente possible sont les priorités de Silver Valley. En s’installant à leurs côtés, Silver Valley continue de mieux les comprendre, d’améliorer au quotidien son offre de services et d’animer les évènements de la filière. Ainsi, elle peut fédérer les activités des différentes entreprises : l’objectif, créer des synergies les plus fructueuses possibles.
Silver Valley et ses cinq salariés ont ainsi posé leurs valises dans des locaux neufs d’une taille de 85 m² dotés d’un petit jardin adjacent lui permettant d’organiser certains des nombreux évènements de la filière. Ce sont environ 30 à 50 entreprises qui devraient emboiter le pas à Silver Valley et s’installer au sein de la plateforme. A ce jour 10 startups sont déjà présentes.
C’est le cas de Co-assist, spécialiste des solutions de maintien de l'autonomie des personnes âgées fragiles, dont Pierre-Yves Champagne, co-fondateur, explique les motivations : « Nous avons emménagé à Silver Innov’ pour profiter des synergies commerciales avec d’autres sociétés innovantes et être au cœur de notre écosystème ».
Dotée d’une pépinière d’entreprises, d’un showroom la plateforme de 4 000 m², Silver Innov’ est un lieu unique qui rassemble une concentration d’entreprises de la Silver Economie jusque-là inédite. A l’image de la Silicon Valley, Silver Innov’ souhaite rassembler les talents et les futures pépites de la Silver Economie au sein d’un seul et même endroit. Une stratégie payante qui permet également d’attirer l’attention et de convaincre les financeurs et investisseurs à s’intéresser de près à ces entreprises.
Pour cela Silver Valley joue un rôle décisif et son arrivée ne passe pas inaperçue. Pour Thierry Hollier-Larousse, de la société Ubiquid, gestionnaire du suivi du linge en maison d
The investor world is looking for the new frontier and agriculture could be one of them, as wireless technology becomes more widespread and tools to collect data improve.
The money is still small compared with the large sums poured into
Silicon Valley is bracing for layoffs at some of its biggest venture-backed companies, according to recruiters and tech insiders.
"People are obviously very unsettled these days with the news," said Greenhouse CEO Daniel Chait, whose company provides recruiting software. "I had a call with a handful of CEOs on another topic, but it quickly turned to the state of the markets."
Recent turmoil in tech stocks, including LinkedIn and Tableau, is reverberating around the Valley.
"It trickles down to the venture capital community, then to the start-up world," said Chait. "Everybody is talking about how their companies are reacting, what's going on in boardrooms and how people are planning."
Getty Images
In the past week, electronic health records start-up Practice Fusion — targeting an IPO next year — laid off 25 percent of its staff, and troubled human resources start-up Zenefits announced it has installed veteran tech exec David Sacks to right the ship.
Zenefits' valuation had tumbled over the past year, along with employee sentiment. Just 52 percent of its employees believe the future of the business is bright, according to review site Glassdoor.
"No one wants to say anything, but you hear it from investors and from other founders," said Vlad Rikher, CEO and co-founder of Zenput, an app for enterprises to collect and aggregate product data. "Toward the middle end of this year, there will be a cleaning out of employees at some of the bigger start-ups."
We’re excited to announce that Evercontact has created the first app with crowdsourced contact updates, Evercontact+. Evercontact users now benefit from immediate updates whenever a new public email signature is detected for one of their contacts, without having to wait for an email from them directly.
Picture this: Ellen is not one of your contacts, but you and Ellen are both in touch with Ben. Ben gets a new phone number, changes his email signature and emails Ellen right away. Evercontact will now update your address book even if you haven’t yet received a mail from Ben yourself. So you already have Ben’s new number, and a great reason to reach out.
We checked in with our founder Philippe on the how and why behind the new technology.
This is the final part of a 3 part series with Peter Boyce II, Investor at General Catalyst Partners and Co-Founder of Rough Draft Ventures (here is Part 1 and Part 2). We chatted with Peter to learn about the topics that he knows best - student entrepreneurship, and East Coast venture capital. You can listen to the entire conversation on the 'What I Know Best' podcast, be sure to subscribe to learn from other experts across the Quibb network in coming weeks.
Peter Boyce co-founded Rough Draft Ventures (RDV) while he was a student at Harvard. We chatted with him about how university-supported startups get off the ground, and his perspective on the next wave of startups founded by students. But the devil’s in the details - how exactly has Rough Draft Ventures managed to support and build a powerful organization across many of the top tier universities along the East Coast?
Choosing the Best Young Founders and Companies
Many venture firms and investors speak to the importance of being ‘founder first’ in how they choose which companies to invest in. Rough Draft Ventures is a strong believer in this approach too, in how they select founders and companies they want to invest in and work with. They looked at and learned from the process that angels and early-stage investors use to select their companies. This means that the impact of RDV across the campuses where their founders study has had an influences on how people with RDV interact with students they may invest in, similar to how it works in cities with existing investor networks and norms. It’s common for students to try to ‘get on the radar’ of fellow students on the RDV selection committee and team well before they actually pitch. Grabbing coffee, getting intros from founders in the RDV portfolio, meeting with other portfolio founders - all the activities that non-student founders are familiar with exist on a much smaller scale.
Structure, Partnerships, and Cash
While RDV started at Harvard, the organization recognized early that they were in a part of the country that’s densely populated with colleges and students. They now have over 60 affiliated colleges, and are actively working with others - like Stanford’s StartX program - across the country. Peter and the RDV team are also thinking about how they can increase the pace of investing, working to support all creative students across the US that want access to resources to build a startup. Across the current network of students RDV funds anywhere from 20 to 30 companies each school year, there have been 58 investments across the lifespan of the organization, with cheques ranging anywhere between $5,000 to $25,000. Their roster of mentors also spans across alumni from a wide swath of East Coast colleges, and includes some notable founders from companies like RunKeeper, Warby Parker, iRobot, and Hubspot. It’s an impressive and bold model, still in it’s infancy - RDV started just over 3 years ago.
One of the important partnerships has been with General Catalyst. The venture firm, which now manages almost $3B across 8 funds, itself started in Harvard Square. They’d been very supportive of the student ecosystem locally, and were excited to part
Lemonade, a new insurance start-up that intends to offer peer-to-peer insurance in the US, received a recent boost when it announced that several well-known insurers, including Lloyd’s of London underwriters and Berkshire Hathaway’s National Indemnity Company, have signed up to provide reinsurance backing to the new venture.
Two tech entrepreneurs, Daniel Schreiber and Shai Wininger, started Lemonade. They formed the company to offer peer-to-peer insurance products, which Lemonade plans to make available later this year. While details of the company’s intended offerings are currently scarce, similar European companies have provided users with the ability to form small groups of policyholders. Those policyholders pay a premium, which is maintained in a pool that pays claims. Any money left in the pool at the end of the policy period is returned to the policyholders.
After obtaining $13 million in venture capital funding and hiring four seasoned insurance executives from ACE and AIG, Lemonade most recently announced its partnerships with several leading reinsurers. According to Lemonade, Everest, Hiscox, Munich, Transatlantic and XL Catlin are joining Lloyd’s syndicates and National Indemnity to provide reinsurance backing for the peer-to-peer insurance that Lemonade will offer. Mr. Schreiber hailed these partnerships as providing further peace of mind to Lemonade’s future policyholders that their insurer will be able and willing to pay claims.
Here we learn the differences and dynamics between disruptive innovation, sustaining innovation, and efficiency innovation. Each of them interact with the others, and the appropriate approaches and defence strategies differ. I then provide my own thoughts on how this framework relates to FinTech for incumbents, startups, and venture capitalists.
What is disruptive innovation?
Coined by Professor Clayton Christensen of Harvard Business School in his book “The Innovator’s Dilemma“, disruptive innovation uses new technology and business models to serve new or low-end customers with inferior or simpler products at a lower price point.
Disruptive innovations expand markets, and are distinct from sustaining innovations (making better products) and efficiency innovations (lowering cost and making the same products cheaper), which tend to serve the same markets better.
Incumbents become disrupted when they focus on their higher-end more profitable customers while their lower-end is ceded to other companies. This is a sensible and intelligent management decision seeking the profitability metrics that the stock markets demand.
Successful disruptors then move up the value curve by maintaining early advantages (eg lower costs) and making incremental improvements to the product, and start taking core customers from incumbents.
Along with its new branding, it looks like Uber has picked up some new funding, too. LetterOne (L1), a fund based out of Luxembourg and headed by Russian billionaire Mikhail Fridman, is putting $200 million into the transportation and logistics juggernaut to help it push further into emerging markets. This is a new, strategic investment, rather than a past investment only being disclosed now, the companies confirmed to us.
Uber has been putting a lot of effort into building out its operations globally. In some cases, it has been coming head to head with stronger regional rivals, such as in countries like China (Didi Kuaidi being its arch rival) and India (where Ola leads the charge). But there are still many more markets to tackle, so this funding looks like it will go towards bolstering those existing operations as well as making headway in new places, such as the wider expanse of Eastern Europe.
“Every day millions of people rely on Uber to get from A to B. Hundreds of thousands of drivers use our app to make money,” said Travis Kalanick, Uber’s CEO, in a statement. “Our goal is simple: reliable and affordable transportation everywhere, for everyone, at the push of a button. L1’s knowledge of emerging markets will be crucial in helping us make cities more accessible, opening up more possibilities for riders and more opportunities for drivers.”
Neither Uber nor L1 would comment on whether this is a bigger round, or a standalone investment. “It’s early days so we’re waiting before we say more,” said the spokesperson for L1. (In December it was reported that Uber was looking to raise another $2.1 billion at a $62.5 billion valuation, so potentially this could be part of that round. The company also closed a $2 billion round specifically for its Uber China business in January.)
DFJ co-founder will commit $50 million to the new effort.
In late 2013, we reported that Tim Draper was leaving Draper Fisher Jurvetson, the Silicon Valley venture capital firm he had co-founded 28 years earlier. Specifically, we said that he would not be a general partner on DFJ’s next fund, which was raised the subsequent year.
Over the last three years, there has been a rapid increase in the number of mobile microinsurance products launched worldwide. This growth reflects the emergence of new business models and of non-traditional players keen on innovating through new channels. By expanding access and contributing to the ever-growing ecosystem of digital financial products offered to the bottom of the pyramid, this development represents a potentially significant new phase in the provision of microinsurance.
Here on the CGAP blog, we have already discussed how MMI is reshaping the insurance landscape in countries like Ghana, and have also taken a deeper dive into the business case of some of the most successful freemium strategies in this market. Today, we release “The Emerging Global Landscape of Mobile Microinsurance," our latest brief that describes a supply-side scan of products. The brief identifies over 84 products with a view to providing an initial basis for understanding various emerging trends and business models.
Spanish bank BBVA is setting up a fintech-focused venture capital firm with over $150 million (£104 million) to invest.
The bank said its BBVA Ventures fund, set up in 2013 with $100 million (£69 million), will be rolled into a new VC firm, Propel Venture Partners.
BBVA didn't disclose how much of the $100 million is left but sources close to the bank signalled it is "significant."
The new venture firm, which will be run by the managers of BBVA Ventures, will also have an additional $150 million to spend. The fresh funds make Propel one of the world's biggest fintech-only focused funds. BBVA is the VC firms sole backer.
Propel will have offices in San Francisco and London and a remit to invest in fintech startups in the US and Europe. BBVA said investments will focus on startups in "payments, credit, insurance, wealth management, e-commerce, security and compliance."
Propel managing partner Jay Reinemann says in an emailed statement announcing the changes:
Propel believes that the future of financial services will be realized by rethinking and rebuilding, not merely disrupting. We look forward to partnering with energetic entrepreneurs for the long term, driving ideas forward together, backed by BBVA and its commitment to support digital change in financial services.
BBVA’s Chief Development Officer and General Manager of New Digital Business Teppo Paavola says in the same statement:
In an increasingly competitive fintech venture capital environment, we believe that our increased capital, Propel’s independence and a presence in London can enable us to invest in the best fintech start-ups and better support BBVA’s vision of using technology to change financial services for the benefit of the customer.
Entreprendre.frPublié le 16 fé 2016
Silver Innov' à Ivry-sur-Seine (94) © DRLocaliser cet article sur la carte
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