Les dix pionniers français à suivre selon le MIT
La revue du MIT a sélectionné des innovateurs français de moins de 35 ans.
Dans la galaxie tech, le MIT est un sanctuaire, une icône. Alors, quand la revue du Massachussetts Institute of Technology décerne ses bons points, l'écosystème est attentif. Hier soir, à l'Atelier BNP Paribas à Paris, il a révélé le nom des dix startuppers français de moins de 35 ans qui incarnent l'innovation tricolore. Parmi eux, la jeune femme qui a cofondé Glowee, une start-up qui rend possible l'éclairage sans consommer d'électricité ni émettre une quelconque pollution lumineuse ou le moindre dégagement de CO2.
A vingt-six ans, Sandra Rey démocratise le phénomène de bioluminescence sur les plateaux télé et truste les concours : lauréate du 5e concours Genopole, mais aussi du concours Domolandes et des grands prix de l'innovation de Paris. Mais elle n'est pas seule parmi les entrepreneurs sélectionnés par le MIT. On retrouve également Jeremy Stoss d'Afrimarket (lire « Les Echos » du 8 mars 2016), qui donne la possibilité d'acheter des biens en Afrique en y envoyant du cash. C'est la quatrième édition de ce prix, qui a rassemblé 200 candidatures selon ses organisateurs.
les dix lauréatsJeremy Stoss (Afrimarket), Stanislas Niox-Château (Doctolib), Franz Borzak (Instent), Sandra Rey (Glowee), Clémentine Chambon (Oorja), Matthieu Claybrough (Donecle), Laurent Boitard (Millidrop), Marjolaine Grondin (Jam) et Vincent Bryant (Deepki).
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